un défi personnel

Crier, c’était le seul sentiment qu’elle ressentait, pourquoi elle est partie de son pays, bon d’accord elle avait tué l’ancien kage, enfin la personne qui avait prit le pouvoir, cet être cruel, mais elle avait au moins appris une chose, tout le monde à un cœur. Cet être avait tué par amour ou par colère, mais pourquoi ne pas l’avoir tué elle tout de suite. Oui, elle s’en souvenait, parce qu’il lui avait donné la raison. Elle ressemblait à sa mère autre fois, il avait été incapable de a tuer, à cause des sentiments qui ressentait toujours pour sa mère. Irina devait savoir le pourquoi sa mère avait quitté le village. Pourquoi avoir fuie comme une souris, fuyant le chat. Mais bon quand le chat n’est pas là, les souris dansent. Est-ce donc pour vivre sa vie qu’elle est partie ? La réponse restait toujours un mystère, tôt ou tard. On a une réponse, juste une question de temps.

Le paysage était beaucoup trop clair et magnifique pour elle. Il faisait chaud pour elle, très chaud. Sa mère ne lui avait jamais enseigné comment tenir une carte ou la géographie de ce monde ! C’était un petit papillon égarait. Comment elle allait faire pour retrouver un village sur toute une planète. Elle avait pris un bateau qui avait accosté dans un lieu paumé dans les montagnes. Elle avait marchait déjà depuis des mois dans cette région, mais comme son orientation est nulle, enfin comme elle ne connaît rien. Elle avait du tourner en rond. Alors devait-elle demander à un passant, enfin une personne qu’elle croiserait comme ça ? Bon en tout cas, elle devait trouver un lieu pour manger quelque chose. Elle se fia à son 6ème sens imaginaire, pour trouver par hasard une rivière, où il y avait du poison. Elle enleva son manteau pensant peut-être qui était temps qu’elle change d’habit, non ? Elle ne portait qu’un kimono d’hiver. Si elle en profitait pour se rafraichir ?

Elle se déshabilla, laissant ses bandeaux qui enroulaient son corps comme un top et une sorte blanche, qui faisait ressortir sa peau blanche. Le soleil ne se montrant pas souvent comment elle aurait pu prendre des couleurs ? Bon elle devait profiter de se laver ne voulant pas puer comme un putois. La shinobi ne constata que les longs cheveux : ce n’était pas pratique, du tout. Elle devrait se les couper, si elle combattait, sa la dérangerait, comment elle avait fait pour combattre avec de aussi long cheveux ? Il faisait froid ! Ah oui, c’est vrai. Elle rentra dans l’eau pour faire comme une feuille morte réfléchissant au pourquoi et qu’est-ce que l’amour pouvait signifier. Sa mère était restée, quel sentiment avait-elle pu ressentir ? Elle s’assit sur le bord de la rivière. La vie était si compliqué de nature. Elle entendit du bruit derrière elle, son reflexe fut de prendre son sabre. Quelqu’un s’approchait furtivement, trop avec agilité pour que se soit un simple villageois. Une nouvelle rencontre ? Elle resta sur sa défensive, ouverte à toute possibilité.

L’envie de combattre cependant, n’était pas là. L’ennuie était là, pour elle. Un petit défi lui ferait du bien, un défi personnel ? Oui, Que se soit une femme ou un homme, elle le draguerait pour qui soit sous son charme, enfin ça allait être dure si c’est une femme mais pourquoi pas relever un peu de piment. Au plus profond d’elle, elle espérait comme même que se soit un homme. Elle faisait déjà une description dans sa tête, de l’homme idéal à avoir dans ses filets. Un sourire se dessina sur son visage, c’était comme même agréable d’avoir de la compagnie. Et il pourrait lui indiquer le chemin de Konoha. Irina rimait avec calvaire pour la géographie.

Un tableau s’offrit à elle une image si belle, se demandant presque si elle n’aurait pas fait peintre. Finalement, ce pari allait être comme elle le voulait, un homme, assez ténébreux. Le pari serait assez drôle, non ? Elle examina ce personnage avec attention. Une chose était sur elle n’allait pas le sous-estimer, ne voulant comme même pas y laisser sa peau, sa vie. Irina n’était comme même pas suicidaire. Il devait être un renégat pour avoir une allure comme celle-ci. Il réagit comme toute personne prévisible, sortir un katana et se méfier au maximum d’un adversaire. C’était un peu pitoyable, ayant pas envie de combattre aujourd’hui.

Le soleil se reflétait contre sa peau. Son bain ne lui avait servit à rien finalement. Le mal du pays était un peu présent. S’il pouvait avoir de la neige partout se serait tellement magnifique. Son rêve fut brisé par une voix assez glaciale. Ah, elle voyait : un homme, se prenant pour un super ninja. Vu, comment il devait prendre son katana, la méfiance était son principal mot. Elle posa son arme et retourna dans l’eau. La chaleur était la plus forte, un geste inconscient, peut-être, enfin elle mouilla juste ses cheveux… Il l’énervait, n’était pas un moyen trop utile. Elle reprit son katana et prit tous ses cheveux puis les coupa avec la lame. Elle devait gagner son pari, mais bon. Ce n’était pas présent. Elle regarda suivis ça dans sa direction et dit d’une extrêmes mielleuse et douce.

-Je vois que tu as regardé cette broutille ? Ça se pourrait, mais je suis désolée, la moindre des obligeances et de se présenter avant, non ? En tout cas ce serait une marque de politesse.

Irina planta son sabre par terre dans geste tout autant gracieux. Elle s’avança vers lui toujours en restant à une portée hors d’atteinte. Elle n’allait pas jouait la brebis qui se jette dans la gueule du loup, non ? Mais se serait si drôle. Mais remarquant qu’elle ne pouvait pas voir tout son visage. Elle décida de franchir la limite, impatiente ? De toute façon sa mère l’avait entrainé pour l’esquive Il ne lui faisait pas tellement peur. Et bon ? Qui trancherait la gorge à une femme qui recherche seulement à savoir qui se trouve derrière un masque ? Elle sourit.

-Surtout si la personne se cache derrière un masque, de plus qu’aujourd’hui je ne suis pas d’humeur de meurtre. Je pense qui ne faudrait pas cacher un visage si on veut savoir l’identité de la personne d’en face ?

La dernière phrase, elle était à distance, de le frapper. Elle ne se gêna pas pour enlever son capuchon qui lui cachait ses yeux et le reste de son visage. Si il l’avait abordait, cela voulait dire qui avait quelque chose derrière. Elle ne savait pas quoi mais elle le saurait. Un renégat, seul, ne cause jamais s’il y recherche quelque chose, non ? C’était son avis. Il pouvait toujours la stopper dans son acte, qu’allait-il faire ? La frapper ? La tuer ? L’engueuler ? En tout cas, elle était prête à se défendre.

Une famille, c’était tout ce qu’elle avait souhaité. Les autres n’avaient pas cette chance, là. Ceux qui l’avait voulait sans débarrasser le plus vite possible pour pouvoir enfin partir de ses propres ailes, comme un papillon volant pour se poser un jour sur une branche et profiter de sa vie. Il était comme eux, se disant froid. C’est bizarre, elle n’arrivait pas à le croire. Mais bon les prises de tête en famille était un point qu’elle n’avait jamais pensé, enfin d’une famille normale qui s’énerve pour un rien, montrant leur sentiments sur le moment, au fond, leur comportement n’est-il pas exagéré des fois ? Restait pendant 15 voir 20 ans avec les mêmes personnes, s’il n’y aurait pas de dispute ? Que serait la vie de famille ? De toute façon, elle n’était pas la bienvenue dans se monde. Kokoro se perdait dans les songes de sa famille idéale, réfléchissant sur un futur qu’on lui avait enlevé. Sa mère ne l’avait peut-être jamais aimée et son père, il ne la connaissait pas. Mais s’il aurait été ensemble, tout serait différent. La vois de l’homme en face reprit après l’avoir écouté. Elle avait été horrible, s’en rendant comte, mais il ne pouvait pas comprendre, s’il n’avait jamais pris la peine de voir ce qui avait perdu : lui, prenant la vie comme mort et elle recherchant la vie, cette splendeur qu’on appelle la vie.

Elle le détailla le moindre de ces gestes, de cet agneau égarée. Il s’avançait vers elle, doucement comme si il ne voulait pas l’effrayer, non ça c’était dans un rêve. Elle ne pouvait pas être belle et être une princesse. Son cœur souffrait le martyre de ne pas pouvoir une personne pour la protéger, donc imaginer quelqu’un qui vous attire, comment doit-elle faire pour ne pas fuir en courant ? Il brisa la distance qui les séparer, brisant surtout cette frontière. Elle était perdue… Il déposa un baiser sur ses lèvres. Elle songea à tellement de chose pour pas que son corps remarque ça. Sa réussit beaucoup sauf qu’au moment où à la fin de sa phrase il dit qui la trouver attirante. Irina se faisait trop d’idée, beaucoup trop d’idée. Avait-elle enfin trouvé une personne qui puisse la comprendre et l’aimer pour comme elle est, un monstre ? Rompant pas la ficelle, qui les liait, allait les conduire au bord d’un fossé, son fossé qui allait lui montrer encore plus que la vie est injuste avec elle. Il lui donna un premier baiser, un baiser à la fois doux et sucré, oui, sucré. Jamais, elle n’avait eut un baiser par un échange comme ça, généralement c’était pour couper court à une discutions et profiter d’elle, mais lui, il n’était pas attirer par ça pour ce baiser.

Le pire allait bien sûr arriver. Son cœur s’était accéléré, laissant la place au désir et non au calme. Elle était aussi attirée par lui, mais pour combien de temps ? Des années, des semaines, des jours… Des secondes ? Le temps qui ne cessait d’avancer pour perdre à chaque moment du temps, se rapprochant chaque jour d’une nouvelle mort, ou de sa propre mort. Le poison était là, scrutant sa prochaine victime, comme un traqueur qui veut la mort de sa nouvelle proie. Ses veines avaient changé de couleur mais les bras ne furent pas les seuls touchers, non. Elle s’étirait de son coup jusqu’à sa bouche quand ils rencontrèrent les lèvres si douce de Kestu, si c’était bien son prénom. Il lui fit un sourire, un sourire si sincère qui transperça son cœur à la vitesse de la lumière. Pourquoi il avait fait ça ? Il lui restait plus beaucoup de temps enfin, le poison agissait déjà ! Elle ne lui répondit pas rompant tout de suite de se qui les séparait, elle prit une fiole dans son sac la dernière qui lui permettait de se calmer, elle devra en refaire, en espérant qu’elle trouve des plant… STOP ! Elle prit la fiole et courut vers lui pour la lui mettre dans les mains.

-Boit-là… Tu es complètement inconscient de m’avoir… Boit-ça… Le poison… Tu as inhalée le poison… Pourquoi tu as ait ça, c’est de ma faute… C’est une sorte de coupe, il le détruit mais pas entièrement… Ton chakra sera inutilisable pendant 8h voir plus, car il est utilisé pour ton corps pour perfectionner l’avancement de ce remède, pas au point mais juste assez pour que je trouve le vrai remède !

Qu’est-ce qui attendait ? Elle perdrait la raison. L’envie, qui meurt ou de le voir part terre inerte, la rendait complètement folle la mettait dans un état. Il devait voire, sinon elle ne se le pardonnerait pas, jamais. Elle maudirait et tuant, si le poison n’aurait pas fait l’effet : un village un pays… Juste fait par des calculs, mais si elle perdait complètement les pédales et de le voir part terre… Un gaz pourrait se libérer et tuer des centaines de personnes, comme une bombe toxique. L’avantage, c’est que si il boit cette fiole, le poison aura déjà un peu moins d’effet… Il serait immunisé par la voie aérosol. Elle ne devait pas perdre le contrôle.

-Je resterais avec toi….Je…Je ne veux… Pas que tu meures…

Sachant que son cœur se déchirerait en de millier d’étoile dans le ciel, des étoiles qu’elle regarderait sans qui lui donne un chemin à prendre deviendra une âme vengeance et tuant par gourmandise d’un destin qui lui était donné, un destin injuste. La jeune femme prononça les mots les plus absurdes qui soient dans ce monde vraiment, les plus absurdes, les regrettant tout de suite.

-Je t’aime… Je sais déjà que je n’arriverais pas à me pardonner de ta mort.

Vraiment absurde, non ? De le dire à une personne, encore si étrangère…

[Cour désolé devoirs de math à faire u_u]

Le nuits était là, présente. Étendant son manteau de Ténèbres plus sombres encore que celles du royaume infernal de Lucifer, l'ange déchut...Ketsueki était bien, relaxée par cela, lui qui avait toujours vécut en harmonie avec les démons, les démons habitant Konoha...Le troisième, les vieux sages etc... Démons pour certains divinités pour d'autres...Bien ou mal, quel différence ? Finalement tous n'est qu'une question de point de vue non ? Pour Ketsueki toutes ces personnes appartenant à l'aile gauche n'étaient pas fait pour diriger...et l'aile droite n'était pas mieux à vrai dire... Que faire ?

En souriant légèrement il regarde le visage cristallin de la jeune femme ... voulait-elle sa mort ? se rappelait-elle que l'Uchiha avait déserté ce fameux village de la feuille ? Quoi que... cela pourrait être amusant...

Konoha? J'ai grand intérêt à me cacher alors...je ne croit pas que mes anciens paires seraient ravit de me revoir... Mais je peut faire diversion... Trouve moi une carte de Konoha et personne e pourras sortir, pendant que je ferais diversion va trouver ce qui nous intéresse ...

Il se mit en direction de Konoha, attendant que le jeune femme ne e suivent, espérant tout de même avoir un peu d'adversité là-bas... En effet deux ans après sa trahison le fameux événement se déroula... Le massacre du clan Uchiha... Et il était le seul, le seul à s'en être échappé avec le petit sasuke, cette enfant voulant tant ressembler à son frère, ce frère, ce traître ayant surement exécuté les basses besogne de Konoha...