Un petit papillon empoisonné

Au fil des années, une graine devient une fleur. La jeune fille a pris des formes. Son corps est presque parfait, sauf avec une cicatrice faîte par une folle quand elle était jeune pour la punir, ce qu’elle a toujours aujourd’hui honte de montrer. L’entraînement de sa mère a conduit à aucune cicatrice sur le visage, mais pas dans le bas du dos, où personne ne peut voir. Elle n'est pas si grande qu'on peut croire, d’une taille entre le moyen et le grand, pour être un peu plus précis elle ferait 1m69. Elle ne pèse pas très lourd ce qui lui donne un avantage pour le combat et la vitesse, pesant environs 54 kilo. Son corps lui permet facilement à faire certaine performance. Irina est agile et souple, arrivant à faire des acrobaties aériennes que peu de femme arrivent à exécuter mais qui lui permettent de rester en vie à de nombreuses reprises, pour éviter les kunais. Elle possède une grande rapidité grâce à son corps et aux entraînements, surtout l’esquive.
Et oui, sa beauté est son charme pour appâter les hommes, ce qui est assez réputé chez elle. Mais sa qualité reste comme même son visage presque angélique, un visage qui s’est transformée devenant plus fin et sage. Ses lèvres qui transmettaient à travers un baiser de faucheur, chacun de ses victimes soufflaient entre deux baisers qu’elle avait de douce lèvre. Elle avait fini par le croire. Elle a de longs cheveux, vraiment soyeux, qu’elle boucle des fois, avec des yeux violets-bleus. Ils traduisent et trompent souvent les sentiments de la jeune femme. A chaque fois qu’elle se met en colère ou autre, un sentiment qui y ressemble, ses yeux deviennent assez rapidement sombres. Elle a un tique de toujours remettre une mèche derrière son oreille, puis de faire un sourire, avec une douceur qui dévoile sa vraie nature, qu’elle montre cas ceux qui le mérite ou qui l’on sortit de sa misère actuelle. Ses mains fines est le point de son corps qu’elle déteste. Elles lui font penser aux serres d’un aigle.
Sinon, elle a un style bien à elle, étant grande elle porte une robe noir avec une chemise blanche qu’elle laisse ouvert, portant aussi des jambières noirs tout dépends si il fait chaud ou froid. Sa couleur pour les habits qu’elle met généralement ? C’est plutôt des couleurs décolorées qui montre un peu plus son côté rebelle. Elle porte un tatouage de son clan sur sa jambe, dernier représente : une branche de cerisier japonais avec Trois papillons, ce tatouage à une signification bien précise, vous le découvrirez plus tard.

Une mentalité ? Oh mon dieu, elle ne fait que raisonner la plus part du temps. La vie est inintéressant depuis que son meilleur ami est mort, étant orpheline, ça lui a fait sombrer dans l’insociabilité, personne ne la connaît, mais tout le monde la jugeait : incompétente, sadique, une garce sans nom, une fille de prostituée.
Elle n’est une fille facile, elle aime faire ce qu’elle veut. Elle réfléchit selon ses sentiments. Elle ne croit pas au prince charmant, même loin de là. La jeune fille peut se montrer très lunatique. Mais elle peut se montrer en apparence sadique, mais au fond d’elle, elle est douce, affectueuse, compatissante, ce qui est sa faiblesse… La liste est bien longue. Tout le monde croit qu’elle est dans un rêve. La réalité est tellement pathétique pour elle. On peut la considérer froide comme de la neige, gentille comme un ange, son désir comme une flamme qui brûle tout le temps. Donc on peut en déduire qu’elle n’a pas de caractère enfin elle est jamais fixe. Ce que je veux dire par là, c’est que son caractère n’est jamais stable, enfin infiniment grande. Irina se montre les 20% du temps distance cas vous sautez dessus pour avoir un câlin, ce qui n’est pas du tout son genre, loin de là. Elle ne croit plus quand un seul avenir, un avenir d’un village qui sera réduit à un silence mortel. Mieux vaut être son ami que son ennemi. Elle se montre sérieuse contre ceux qui connaissent ou on eut affaire à son clan.
On peut conclure qu’elle s’est forgé un caractère, elle, qui ne faisait que pleurait. La mort rime plus qu’avec la vie. C’est dans sa nature de vouloir voir ou de tuer, pour voir de plus en plus, montrant son sentiment intérieur et chaotique. Elle peut se montrer naïve, mais une détermination grandissante. Irina est trop douce de nature, beaucoup trop douce, malgré son caractère ce qui est une assez grande faiblesse. Elle doit encore apprendre à s’endurcir, malgré ses compétence si développée. Elle doit changer, elle changera de caractère au fur et à mesure de sa vie.
Kokoro obéit à son instinct, presque tout le temps, c’était un point commun entre sa mère et elle. Enfin cela c’était toujours d’actualité, mais c’étant un peu calmer comparée à avant. Elle voulait quelqu’un la sorte de son monde, l’attendant toujours aujourd’hui et recherchant quelque chose que son cœur demande, à l’opposé de sa mère au tout début. Elle ne sait pas quoi mais elle doit le retrouver. Elle se montre souvent ironique, sarcastique et même souvent, plutôt rarement sympathique.
Actuellement, elle ne sait trop quoi en pensée. Si elle sourit se sera plutôt pour le malheur des autres ou pour se moquer, mais elle aimerait sourire comme avant même si c’était rare, qu’elle soit heureuse. C’était son but, elle enviait sa mère qui avait connu l’amour avec son père.
Pour conclure, Koko est une fille bizarre et mystérieuse, qui est légèrement tarée, mais elle a un but concret dans cette vie. Elle s’en fiche si elle est condamnée à mourir, au moins elle est libre, avec un autre état d’esprit que les autres personnes, ça lui arrive de se poser des questions même souvent mais elle arrive toujours à y répondre par elle-même, sinon la curiosité. Donc pour résumé, Elle croit en une phrase, qui peut finalement la décrire assez facilement, sans tout ce blabla : la vengeance est un plat qui se mange froid ! Et le meilleur moyen d’y résister, c’est d’y céder, qu’es-ce que vous en penser ? Un caractère assez complexe ?

Le bonheur est une chose primaire, notre histoire commence comme tout début de conte de fée, mais qui finit mal. Il était une fois, une femme parfaite qui avait tout sauf ce qu’elle désirait : l’amour. Elle s’appelait Nozomi, elle était la dernière de son clan. La vie lui semblait pitoyable, même si elle était l’espoir de son clan, enfin de sa mère. La vie l’avait toujours poussée à continuer son chemin, venant de Konoha. Ayant fui le village, elle se rendit au pays des neiges. Sa peau, si blanche, allait enfin être mit en valeur. Mais une chose qu’elle n’avait pas calculée : le froid et la distance, ce froid qui avait paralysé tout ses membres, la plongeant dans un coma. Elle allait mourir, ici. Une douce chaleur s’empara de son corps. Elle entendit trois voix, assez rauque, mais ce fut qu’un petit moment. Pour sombrer dans un cauchemar où la mort était le roi, Nozomi réussit à fuir en se réveillant en sursaut. Elle vit un homme à son chevet, il avait l’air si paisible. Elle toucha ses cheveux, mais elle retira immédiatement voyant son poison faisant effet. Le jeune homme se réveilla en sentant la jeune fille qui voulait fuir. Il la rattrapa et réussit à la convaincre de rester et d’envisager sa vie avec eux. Il s’appelait Hikaru, son prince.

Au fil des années, la jeune fille apprit à aimer cet homme, sauf qu’il y eut un problème. Les trois hommes, en un jour ensoleillé, lui firent une déclaration. Le premier se fut le yumekage, Il n’alla pas par quatre chemin. Une déclaration assez robuste et claire. Ce qui ne plut pas tellement à la jeune femme, qui détestait les autres, donc imaginait dans quel pétrin, elle se serait mise avec lui. « Chérie ? J’ai faim, va faire à manger ! Va faire le ménage… Bla…Bla…Bla… » Elle imaginait tout les ordres qui pouvait lui faire quand elle serait avec lui, donc jamais de la vie pour être une femme déprimée dans un foyer pour finalement un jour partir avec un autre, en l’ayant trompé… Enfin… Le non ne déprima pas le yumekage, qui garda la tête haute, en lui souhaitant tout le bonheur du monde avec celui qu’elle aimera.

Oh, le deuxième, son prince, fut celui qu’elle fut celui qui devint presque un moment magique pour la jeune fille. Il se tenait là, devant elle. Ayant peur de se qu’il voulait lui dire, elle essaya de fuir. Hikaru ne baissa les bras aussi facilement et l’empêcha de la laisser partir comme ça, la rattrapant son poignet et avec sa force, il la ramena pour la prendre dans ses bras. Et commença à lui faire sa déclaration, ce que gardera en mémoire toute sa vie, la mère de Irina : « Je sais que je ne suis pas le modèle parfait que toute les filles, aime. Mais quand je te vois, je t’assimile à une hirondelle, une messagère du printemps. Quand tu n’étais pas là, ma vie était que misère et tristesse. Tout c’est éclairci quand je t’ai vu, presque morte. Le temps, c’était arrêté, mon hirondelle était tombée de son envol. Le fait que tu as survécue, ma donné l’espoir de revoir fleurir mon cœur, ce qui fut le cas. Je t’ai aimée depuis le moment que je t’ai vue…Je t’aime » Il lui caressa les cheveux avec un doux sourire qu’elle répondit.

Le dernier candidat fut la tragédie de ce jour-ci. Un jour si parfait devint un jour apocalyptique. Ce jour où toute sa vie aurait pu tourner commis faut, si il n’aurait pas existé, mais comme je vous les dis ce n’ai pas une bonne fin, un sad ending !

Nozomi s’était rendu sur ce lieu de rendez-vous. Elle eut un haut le cœur quand elle vit le troisième devinant tout de suite ce qui allait se passer, s’imaginant presque le pari, ce jour-là. Le jeune homme semblait assez anxieux, n’arrivait pas à tenir en place, à croire qu’il attendait le moment voulu depuis longtemps pour une demande en mariage. Un petit rire résonna à l’intérieur de la jeune femme. Un pas après l’autre la rapprochait de son prochain candidat, qui ne l’était plus vraiment. Elle commença tout de suite par lui jeter en pleine face, qu’elle n’était premièrement pas amoureuse de lui et deuxièmement que rien ne se passerait ensemble. Le jeune homme, au cœur briser, brisa la distance qui régnait entre la jeune femme et lui… Il oublia à quel point : elle était empoisonnée. Il l’embrassa le temps que le poison vienne dans ses veines et ressorte. Il était déjà trop tard pour le jeune homme.

Je vous laisse deviner la suite. Le yumekage venait de perdre son meilleur ami. Il ne laissa pas passer ça comme ça. Mais il voulait la tuer elle et tout ceux qui la protégerait. Vous allez me dire, mais comment ça se fait qu’elle aura un enfant ? Patience… Le jeune homme savait qui allait bientôt mourir. Il savait que toute femme désirait un enfant. Il allait mourir par la femme qui l’aimait temps, mais le poison fut moins efficace. Il avait pas tout de suite signé son arrêt de mort. Ils s’isolèrent dans une petite maison dans le pays des neiges, mais assez loin pour avoir un doux printemps. Hikaru vécut encore des jours heureux sans avoir redouté son geste. Deux mois avant l’accouchement, Nozomi alla sur sa tombe lui mettre des fleurs, mais comment une femme, ayant trouvé son âme sœur et en l’ayant tué, pouvait encore vivre normalement. Son mentale changea petit à petit.

Restons encore dans la peau de Nozomi, pour mieux comprendre la prochaine histoire de notre petite Kokoro.
Deux mois plus tard, enfin le jour J était arrivé. Toute mère se réjouisse de mettre au monde son enfant, mais pas elle. Elle savait qu’elle allait ressentir un vide, après quand elle ne pourrait plus mettre sa main sur son ventre. Un vide qui sera dure comblée. Elle devenait de plus en plus atteinte. Mais son mari, Hikaru, lui répétait tout le temps que la richesse des fleurs des cerisiers, était que le printemps arrivés. Elle partait et s’envolait pour continuer leur route, disparaissant derrière un mirage. Il lui disait toujours ça, lui répétant au fur et à fur, qui sentait la mort qui l’approchait. Les cerisiers était en fleur, Nozomi arrivait à le voir à travers la fenêtre, le travail commença.

C’est ainsi que Kokoro Irina Hihara naquit, un joli petit bébé l’accompagna, son frère, qui eut le nom de son père, Hikaru Hihara. Le premier sentiment de la mère était de les élever comme si il aurait été là, leur apprenant ce qui était la vie, l’amour et tous ce qui l’accompagne. Ils formeraient une grande et belle famille. Ce fut un tellement grand moment pour la jeune femme, elle pensa à son mari à ce qui venait de manquer. Le vide se fit sentir. Elle pleura et pleura pendant des heures, avec ses enfants dans ses bras. Après tout elle l’avait mérité son malheur, non ? Qui compatirait pour elle ? Les enfants devaient être registré dans les mairies et tout ce qui suivent pour savoir combien de gens, il y a au pays, que de l’administratif. Le yumekage a bien entendue les informations. Et vous ne le devinerez jamais ? Il l’attendait cette information. Il avait la ferme intention de se venger en la faisant souffrir à fur et à mesure. Qu’elle sache à qui elle a affaire, cette garce !

Quelque jour passa, la jeune femme put enfin sortir avec ses enfants. Elle avait de nouveau le sourire aux lèvres. Elle ne devait plus pleurer et flancher comme ça maintenant, plus jamais, devant ces enfants qu’elle aimait temps. Il était sa force de vivre à présent. Elle rentra chez elle et commençait déjà à s’occuper d’eux. Comme tout parent, elle passa par le stade, de pas de mot mais par les « gazou gazou… Tu sais que tu es mignon avec tes petits doigts de pieds.... » Me dit pas que vos parents n’ont jamais réagit comme ça ? Une petite famille parfaite. Mais pas pour longtemps.

Un mois plus tard, il avait enfin ouvert leurs petits yeux et se faisait un peu plus présent. Elle s’était vraiment attachée. Nozomi était accro à ses enfants, sa fille reprenait ses traits et souriait tout le temps, son petit-frère lui ressemblait de plus en plus à son père. Elle ne l’aurait pas espérée mais elle le voyait à travers lui. Elle causait des fois, comme si son mari était encore là, comme si il était toujours présent. Elle était déjà malade et savait qu’elle ne serait jamais guérie de lui. Combien de temps peut durer le bonheur ? Un jour ou l’autre, il s’arrête.

Tock, tock, tock… Qui voilà, le grand méchant loup bien sûr ! Le gentil petit kage, Len, était rentrait et tapait dans les mains pour applaudir. « Tu as réussis à être heureuse avec ta petite famille ? Moi, je repense à la mort de ceux que tu s laissé derrière toi ! » La jeune femme se plaça devant ses enfants pour les protéger, mais trop faible encore pour faire quoi se soit. Elle jura qu’elle n’y pouvait rien, qui s’était jeter sur elle, comme ça. Il savait ce qui l’attendait en faisant ça. Une dispute éclata comme un bing bang. Pour finir, il comprit quelque chose, si il voulait la détruire, mieux valait y aller petit à petit. Il la poussa part terre et prit son fils. Elle ne put retenir un hurlement. Elle devenait de plus en plus hystérique. Nozomi se contrôlait plus. Il la paralysa petit à petit. Elle continuer de hurler et de hurler. Len tenait son enfant par un pied et le balança d’avant en arrière. Celui-ci commença à pleurer. Il savait que si le tapait, il le tuerait facilement. Donc il avait la plus mal veillant idée de vengeance. Il se pencha vers son ancienne amoureuse. « Tu sais que je ferais pas l’erreur de t’embrasser, mais je veut te dire que cette enfant aura un sort bien heureux comparée à ta fille. Elle, plus tard, deviendra ma femme et je la violerais. Oh, tu ne sais pas ce que je lui réserve. » La femme commença à pleurait de rage, oui de rage. Il commença à prendre des bouts de bois, puis il fit un feu. Il mit Un étage en métal supplémentaire. « Un barbecue, ça te dit ? ». Il plaça au bout d’un moment l’enfant, qui pleura et cria. « Bon je revendrais te voir, ou que tu sois, je te retrouverais, dans quelque année peut-être je reviendrais, à mon avis sûrement. Elle avait plus de compassion, plus de sentiment. Elle était devenue vide. Il était partit en la détruisant, complètement enfin presque. Elle entendit des cris, des cris de pleurs. Elle se rendit compte au bout d’un moment que sa fille était toujours là. Elle s’approcha d’elle en rampant, n’étant presque plus paralysait. Nozomi prit sa fille dans ses bras. « Ma pauvre, je suis là, je suis là. » En disant ça, elle se penchait en avant puis en arrière. Elle avait complètement perdu la tête. « Tu vas me servir, hein, tu m’aimes, je t’ai fait, donc tu vas m’aider à tuer cette enflure, d’accord ? Mon beau bébé… » La mère venait de rompre tout ce qu’elle avait dit sur sa jolie petite famille. Elle allait se venger. Sa fille lui servirait. Elle n’était pas sa fille, d’ailleurs. Elle la nourrit mais pas par amour, pour sa vengeance. La vengeance est un plat qui se mange froid ? Elle eut un rire rauque, cette nuit-là. Pour la première fois, elle put dormir commis faut sans aucune peine, ni besoin de le voir. Elle haïssait son prince, pourquoi il avait existé ! Pourquoi le destin lui avait fait ça ! Pourquoi !?!

Une enfance comme les autres ? C’est ce qu’Irina avait temps espérée, depuis si longtemps. Elle avait maintenant 5 ans. Elle voulait temps être aimée de sa mère, aimée sauf qu’elle ne savait même pas ce que le mot amour voulait dire. Elle avait lu des livres que sa mère lui apprenait. Une fois, quand sa mère lui avait donnée pour mission d’aller chercher des légumes pour manger. Elle avait vu un couple s’embrasser. Elle ne savait pas se que c’’était. Quand la petite fille rentra chez elle, sa mère discutait avec un homme. Elle l’accueillit avec un sourire. Elle dit des mots incompréhensibles. Ton entrainement va enfin commencer, ma fille. C’était la première fois que les mots de sa mère lui firent peur et étant incompréhensibles à ses oreilles.
Sa mère l’abandonna avec cet homme dans une chambre. Je vous laisse imaginer la suite.

Avant cela, vous devez savoir que sa mère lui avait appris les arts de ninjas enfin juste ce qui lui semblait important. Elle l’entrainait dans l’art de l’esquive, de la force, médecine et surtout l’art de la séduction, de faire jouer ses atouts. Elle lui dit ce qui était et qui servait à tuer. Elle rencontra la mort à l’âge de 4 ans. Sa mère tua son chien devant elle, pour lui apprendre une leçon dans la vie, son fidèle compagnon avec qui elle jouait. Ce jour-là, elle aurait voulu qui se réveille et rejoue avec elle. Sa mère lui apprit des arts qu’elle ne comprit pas tout de suite, à chaque fois qu’elle était ailleurs, dans la lune. Sa mère la fouettait dans le bas du tout. Une partie du corps qu’on ne voit pas souvent. Même si il faisait très chaud pour se baignait ou autre, elle mettait toujours top assez long pour cacher ses marques qui représentait la honte, une honte qu’elle porterait à vie.

Elle passa ses nuits avec les hommes le temps de maîtriser sa technique héréditaire qui restera à vie active, ne pouvant aimer selon sa mère. Elle se ferait traiter comme elle, de prostituer. Une nuit ce qui dut se produire se produisit. L’homme se retira au plein milieu de l’acte. Le contour de sa bouche devint vert-bleu. Il n’arrivait plus a respirer enfin, il respirait mal, se laissant tomber par terre, pour se tordre dans tout les sens, en se plaignant que sa tête lui brûler. Elle venait d’avoir c’est 9 ans, quelques jours auparavant. Une fête qui ne fut comme les autres jamais fêté. Sa mère, pour la première fois, lui avoua qu’elle était fière d’elle. Elle eut un sourire et goutta aux jouissances du sang, des meurtres, de l’envies de tuer. En grandissant, elle fut comme sa mère appelait putes, garces ou encore filles de traînées. Elle était une femme que personne ne devait approcher de plus de un mètre. Elle maîtrisait parfaitement son art, un baiser et l’homme tombait part terre en souffrant. Quand elle touchait un homme, ses veines changeaient de couleurs venant vers les couleurs vert-bleus. Elle était faîtes pour tuer, c’est ce que sa mère lui répétait. La seule et unique fois qu’elle demanda à sa mère ce qu’était l’amour ? Nozomi voulut la baffer, mais Irina stoppa en prenant son poignet. « J’ai grandi, je suis aussi forte que toi à présent, même plus forte que toi pour la défense. Ne me retouche plus jamais. » La mère fut agréablement surprise par ce geste de rébellion. Sa fleur avait poussait comme elle le voulait. Elle caressa, comme une douce brise printanière, sa joue.

Bien sûr, la mère se doutait que le sans-nom allait revenir, un kage corrompu, totalement timbrée. Il était à la hauteur de tous les crimes commis par les derniers assassins. Elle aurait sa peau, ce qui était sûr. Il n’aurait jamais sa fille, jamais.

Quelque mois, le loup arriva, d’ailleurs quand on parle de lui, il rapplique comme un petit chien. Nozomi fit courir des bruits sur Len pour le provoquer ce qui ne résista pas à une visite, toujours par l’emprise de l’amour et de la haine qui éprouve pour cette femme. Il rentra dans la maison, en braillant haut et fort : « Tu voulais me voir, ma chérie ? ». La femme joua la comédie, en lui avouant qu’elle l’avait toujours aimée. Il l’entraina dans la chambre en regardant brièvement la jeune femme qui était là, mignonne. Elle arrangeait un bouquet de fleur, un des seuls loisirs que sa mère lui avait laissé apprendre, l’art de l’Ikebana. Ils s’isolèrent pour discuter ce qu’Irina ne put entendre.

Au bout d’un moment, la jeune femme avait fini son bouquet, s’inquiétant pour sa mère elle regarda par le trou de la serrure, mais elle ne voyait rien, mais sur le seuil de la porte, elle vit du sang. Elle ouvrit la porte en voyant cette personne avec le sang de sa mère sur lui. Là, elle lui fonça dessus. Il l’arrêta sans trop de peine. « Je vois, je vois… Encore trop faible… Ta mère était jalouse de ta beauté, elle voulait te tuer, tu vois… Tu pourrais devenir plus forte, tu as le potentiel, veux-tu que je t’apprenne ? » Il mentait sur toute la ligne, sur tout, il l’avait même sous-estimé, une grave erreur de nos jours ? N’est-ce pas ?

Il y a quelque mois, tout changea pour notre petite tueuse, enfin pour notre deuxième cinglée. Elle avait accepté elle avait maintenant 19 ans, un belle âge pour elle. Elle ne pensait cas tué, sans rien d’autre à côté. Le yumekage avait donnée sa place pour un autre kage. Le peuple se révolta contre lui, voulant le tuer pour tous les crimes qui avaient commis. A cet âge, elle ne savait toujours pas manier les armes blanches, par contre, la médecine était devenue un passe temps. Elle utilisait les insectes de temps en temps, enfin une allusion avec des papillons pour faire tout ce qu’elle voulait de ses ennemies, comme une vague hypnotique. Elle était le meilleur ninja pour faire des bombes, qui faisait boum-boum, enfin un concept qui réagissait à son poison, un poudre qu’elle crée et au contacte de son poison il exploserait…Enfin, c’était plutôt dans les poisons qu’elle était réputée, un assassinat rien qu’avec une goutte d’eau mélangeait à sa salive quand le poison devient actif. Elle était devenue son bras-droit et l’aida de fuir pour mieux le tuer plus tard.

Une nuit où la neige commençait à tomber. Elle réussit à le faire sortir dehors pour le faire admirer cette neige. Elle dit à haute voix que il avait des comtes à réglés. Elle n’avait jamais crue à son discours la première fois qu’elle l’avait vu. Il puait le mensonge, comme il respirait. Elle le détestait. « Tu vois ma mère était peut-être folle, mais elle n’a jamais voulu me tuer, parce qu’elle voulait que je te tue, toi… » Elle bougea ses doigt à une vitesse qu’elle gagna sur le justu. Sous des pétales de cerisier qui avait remplacé les flocons de neiges, Les papillons arrivèrent, des papillons blancs, messager de la mort, de sa mort, mais avant ça, elle devait connaître toute la vérité, absolument tout. Elle lui posa toute les questions du pourquoi et du comment sa mère était devenue comme elle l’était. Il lui raconta tout…Enfin tout ce qu’il savait. Elle ne voulu pas savoir se qui s’était passé, enfin elle lui fit écrire sur une lettre tout ce qui s’était passé avec les dialogues, rangeant précieusement la lettre dans sa poche secrète de son kimono. Elle le refit prendre consciente après lui avoir fait boire son poison qui tuer à petit feu une personne. Elle prit son sabre, à cette ordure, pour lui amputer de son pied. Là, en se moment précis, elle pouvait le libérer de son emprise enfin même pas besoin vu que la douleur de la coupure le ramena tout de suite à la réalité... Il se tordait partout sur le sol, salissant la pureté du sol, comme il avait réussit à salir sa vie. Une vie qui aurait, selon elle, réussi à être du bonheur et de l’amour. Elle devint à se moment douce comme de la soie. Elle allait redonner de son amour à elle-même, pour la protégée des remarques des autres. Elle songeait et songeait, mais enfin de comte presque oublié la personne. Il s’en tirait trop bien pour la vie de son frère. Peut-être qui l’avait tué par le feu extérieurement, mais lui se sera intérieurement. Il hurlait. Le feu d’artifice allait bientôt avoir lieu. Elle sautillait presque sur place, avec toujours un sourire aussi doux. C’était vraiment le plus beau jour de sa vie… Elle finit par sautiller et applaudir, comme un enfant impatient de se qui l’attend. Finalement, sa souffrance fut un bien fou pour elle, jusqu’au moment où enfin il explosa. Des lumières partirent vers les ciels, un supplément qu’elle avait ajouté. Celui qu’elle avait adorait, c’était avec le sang qui salit tout se qui put, même elle. Elle en avait sur son visage. Regardant les feux d’artifice, elle devait se trouver un nouveau but. Il était mort maintenant, ce brave type…Non, pas de sarcasme ! Elle prit un bain très chaud dans des sources pour se purifier.

Dans la semaine, elle s’était fait un tatouage sur le bas de sa jambe, même à côté du talon d’Achille pour être exacte. Elle l’a fait pour sa famille, qui a été réduite à néant. Elle changea de style pour avoir celui qu’elle a aujourd’hui. Elle vagabonde de pays à pays, se jurant qu’elle ne reviendra plus jamais au pays de la neige. Sa prochaine destination les origines de sa mère pour savoir le pourquoi et le comment de sa fuite. Pourquoi elle du fuir ce village ? Elle le découvrirait. Elle partit pour Konoha, où, sur le chemin, elle fit des rencontres qui l’attendrira de plus en plus pour la faire devenir la femme qu’elle est aujourd’hui…

Le futur lui fait peur, mais elle reprend son envol pour rentrer dans un mirage que personne ne pourra atteindre quoi que ?

Surnom: Lilly, LillySun, Yellow, Rain et trippe d'école, raisinette xD
Age: 17 ans
Expérience rp: Oui, c'est pas mon premier, ni mon dernier... =D
Avez vous lu les règles ?: Validé par Genshi
Comment avait vous connu le forum ?: Annuaire après de longue recherche, du forum idéale.
Première impression du forum: Il rentre dans tout mes critères, donc parfait!

Le temps semblait s’accélérer après la mort de cette ordure, près à jeté à la poubelle pour de bon. Le pays, c’était débarrassé de lui pour de bon. Mais bon, elle était encore une méchante du coup ? Ben oui, toute logique, c’est que si elle tue le méchant, c’est une gentille, mais si elle la suivit pour mieux le tuer, en tuant d’autre personne, ce qui fait que le peuple c’est rebellé pour laisser place à la dirigeante la reine, qui gouverne maintenant ? Oublions ça, enfin de journée, elle ne serait plus là. C’était dans cette petite maison qu’elle pouvait être en sécurité dans ce pays, isolée de tout. Elle avait fait une sorte de serre, un passe temps, pour faire des mélanges, pour des antidotes. Comme chaque matinée, elle allait leur donner à boire mais bon cela ne prenait que cinq minutes. Bon qu’est-ce qu’elle allait faire de cette journée, alors ? Des expériences ? Bon allez on y va pour ça. C’est du coup avec un sourire de savant fou, qu’elle se rendit dans sa maison ou plutôt un laboratoire, ou la chaise lui servait de lit. Pourquoi pas de lit ? Le peu de temps qu’elle passait là. Une journée banale… Ses yeux allait se collait sur les lunettes de son microscope, suivis de ça, elle prit une souche d’un antidote qu’elle avait laissé agir le reste de la nuit. Quand elle fit un simple mélange, en espérant qui soit positif, le résultat fut décevant. Elle regarda le cadre, un des deux seules qu’elle avait. C’était une photo de sa mère et de son père, où il y avait la preuve concrète, que le poison n’agissait pas quand elle touchait où sa peau était en contact avec celui de son père. Elle était dans ses bras avec un sourire tellement magnifique, une si belle femme qui avait été une si belle garce. Elle était du genre à fuir un problème, imaginant une scène où elle s’engueule avec son père, qui serait encore vivant, et elle qui débarquerait en proposant du dessert. Elle sortit d’un rêve, en prenant ce cadre, furax qu’elle ne puisse pas avoir l’antidote. Elle fit un magnifique lancer, concurrençant les lanceurs américains. Une mini bombe de verre se répartit dans la pièce, enfin dans l’endroit où elle l’avait lancé. La photo, elle se retourna. La jeune femme se leva pour allait la reprendre, pour la remettre à sa place, s’excusant envers son père, la seule mémoire de lui, l’énerva, ne savant pas pourquoi ? Parce qui l’avait abandonnait, qui n’avait jamais été là, qui était mort trop vite, qu’elle aurait tant voulu avoir une vie de famille avec lui et son frère, Hikaru. Elle l’imaginait si grand et très protecteur, faisant tomber toutes les filles qui voulaient et elle jalouse. Sur cette feuille, elle put lire une inscription qui allait changer ça petite vie misérable.

Elle fut assez surprise une bonne ou une mauvaise, une bonne. L’humidité se fit sentir sur ses joues. Ses yeux se rebellaient ne voulant pas arrêter ses vannes ouvertes. Elle était si heureuse, cette photo, était là. Elle l’avait retrouvé dans un coffre de sa mère, sans se douter une minute que son père lui avait laissé un message pour elle et son frère. Il n’était pas encore au courant pour les jumeaux. Elle s’écroula sur place. Mais une vérité était bien présente et lui rappelait que ce n’était pas le village de sa mère. Un pays si froid fut enfaite l’enfant adoptif de sa mère, un pays qui la reflétait comme elle la connaissait. Des questions venaient. Son tatouage fut tout d’un coup plus lourd, ayan le même que sa mère, parce que c’était comme même celui de son clan. Qu’est-ce qui se passerait si les gens de son village le voyaient ? Sa mère était partit, parce qu’elle avait tué, enfin c’est ce qu’elle avait dit ! Si cela n’était qu’un mensonge parmi les autres ? La solution de l’antidote n’était pas ici, après avoir étudié la plus part des plante ici, et de ne pas savoir ce qui ce passe, c’était un peu comment dire, une paysanne. Elle voulait voyager, parcourir le monde et tout savoir de se qui se passe, parce que à part l’histoire de sa vengeance, sa mère ne lui avait rien dit du reste du monde.

Je vous avez déjà dit, la notion de la méchante ou la gentille, dans son pays. Elle eut la réponse dans la même journée, une raison de plus qui fait qu’elle parte et recommence un peu à zéro. Enfin, elle serait dans une liste de criminel, les plus recherchés. Elle sortit de chez elle avec très peu de chose, prenant juste une bague, un collier et le sabre de sa mère. Elle se retrouva nez à nez avec un ninja de ce village. Le combat était inévitable, mais pourquoi venir et se tenir devant chez elle ? Le jeune homme la regardait sans broncher. Il était raide comme un piquet. Quand il décida enfin de parler, c’est seulement quand elle commença à partir dans la réaction opposé qui décida de parler. Sa voix était d’une douceur si inattendue, mais le plus surprenant était les mélanges de sentiments qu’on arrivait à décrypter : la haine, la tristesse et quelque chose qu’elle n’arrivait pas à mettre la main dessus. Elle le regarda en penchant la tête l’observant lui disant qu’elle ne lui voulait pas de mal, puis qu’elle partait. Le jeune homme s’énerva d’un coup, l’interdisant de partir et qu’elle reste là, parce qu’elle lui avait tout pris : sa famille, sa maison et sa vie. Irina ne comprenait pas du tout ce qui se passait. Elle ne l’avait jamais vu et il réagissait comme ça. Il lui déballa son histoire, qu’elle s’en fichait un peu, ce qu’elle voyait en réalité, était un faible, rien qu’un faible. Il y eut une nouvelle réaction. C’était le fils de… Il n’y avait pas un seul mot pour cet homme. Elle haussa les épaules lui disant juste que ce n’était pas elle qui l’avait mis le peuple contre lui, c’était lui seul le responsable. Elle ne l’avait que tuer quand il avait tout perdu et qui était là ou non, cela aurait changé sa vengeance pour quelle soit un peu plus cruel. Son délire prit le dessus comme son père avec son frère. Elle l’aurait tué de la même manière que son frère devant sa mère, tiens. Mais il y avait une un hic, sa mère était morte, mais elle ne ferait pas l’erreur de la prendre sous son ail pour la tuer. Non, mais comme même, elle ne serait pas aussi stupide que son père. Bon mais un feu se serait tellement gaie maintenant ? Non, stop ! Elle n’était pas aussi basse que son père. Il voulait la tuer. Elle allait le tuer mais avec une mort douce, il aurait de la chance. Elle s’avança vers lui, bon ce serait enfin finie pour de bon. Il y aurait plus rien mais après tout, lui aussi, il était seul. Elle s’énerva, qu’est-ce qu’elle devait faire alors. Irina hurla sur le fait final, qu’est-ce qui lui voulait et là la réponse fut très, très inattendue. Sa femme, il voulait qu’elle soit sa femme. Elle fut prise par une crise d’hilarité. Il voulait la tuer de rire, la bonne blague. Ce n’était pas une blague. L’homme lui expliqua les raisons du pourquoi et du comment. Il eut une réponse tellement simple : non ! Pour plusieurs raison, de un : elle le tuerait, et de deux : elle ne l’aimait pas et ne savait pas ce que c’était l’amour. L’homme comprit alors la leçon du jour. Se marier avec elle était égal à se suicider. Elle vint vers lui et lui donna exactement une baffe. Elle lui dit ce qu’elle pensait. Il n’avait pas tout perdu, étant pas coupable des actes de son père. Elle partit du coup à midi, mais avant cela il lui restait qu’une seule et unique chose à faire quelque chose qui s’en souviendra et qui l’aidera à ne pas avoir le mal du pays.

La fin de sa vie allait être là. Elle était une criminel, tout ces meurtres comment il pouvait le laisser passer, ayant tué autant de personne. Comment il pourrait la laisser partir sans rien. Ils exigeaient vengeances, une chose était donc vrai. C’était elle qui avait tué des gens pour cette ordure, où elle irait, ce ne serait jamais la même chose. Elle tuera des hommes et son futur mari ou autre. Elle s’était poser en haut d’une falaise, assise les pieds dans la vie. Elle regardait le soleil qui allait se couchait. Une leçon de la vie qu’elle n’oubliera jamais. La vie ne tient cas un fil. Elle devrait faire attention, c’est comme le moment, juste un saut. Le fil se casserait mais elle les reverrait. Ce serait un rêve prolongeait plus besoin de se battre d’affronter cette vie, si dure, un jeu qui ne finirait jamais. Il allait bientôt être l’heure, plus que 60 secondes et se serait la fin. Ses songes disparurent. Son chemin à suivre était si simple, si claire. Elle se leva et se mit près du vide, se balança d’avant en arrière, jouant avec la vie et la mort. Un vent glacial caressa sa joue. Les rayons du soleil se répondaient sur les plaines, illuminant la neige comme du Crystal. Une vue était si merveilleuse. Un tableau magnifique, c’était comme si son père lui tendait la main pour la poussée vers sa destinée. Elle tendit la main vers le soleil. Il était temps. Elle basculant dans le vide de la falaise, utilisant son justu pour se crée comme des ailes de papillons, des ailes argentées qui était aussi étincelant. Ceux-ci ne permettaient pas de voler mais de faire comme un parachute pour ne pas se cracher par terre. Elle atterrit en s’accroupissant pour ne pas abimée ses articulations de ses jambes. Elle leva la tête. Son nouveau voyage allait commencer. Elle devra se méfier de tout le monde et de qui comte mais un jour elle croisera une personne qui croira en elle, pour lui consacré le reste de sa vie, une vie où elle sera heureuse, où elle aura aussi une famille, mais si pour ça, elle devra tuer. Elle tuera temps qui faudra, pour n’avoir personne à travers son chemin, un chemin qui est à présent claire et facile à suivre pour son but. Un but de faire de sa vie, le comte pour la quelle on lui a déjà donnait un rôle, le rôle du grand méchant loup, pas du chaperon rouge… Rouge comme le sang.