Hic .. on va .. régler ça ? [ Pv Ara' <3 ]

Le vendredi soir, ce moment là, je l'adore. Je trouve que c'est le soir ou la ville est la plus animée, elle est plus vivante que l'ordinaire. C'est vrai qu'en étant Ninja on a pas spécialement de week-end ou de congés. Mais en général quand on est assignés à des trucs pas vraiment important, le vendredi, les gens sortent, en famille quand ils en ont l'occasion. Moi la famille je comprend pas vraiment ça. Appart ma mère qui est vraiment celle que j'admire, celle à qui j'ai succédé, j'tiens pas vraiment à ma famille. Mon père à toujours été si rude que étrangement ne n'ait pas vraiment de regrets depuis qu'il est décédé, après tout il fallait que ça arrive, il ne faisait que souffrir en plus, c'est idiot. Enfin la c'est du vendredi dont je parle. Et bien moi aussi ce soir je vais sortir. En plus c'est le début du printemps et j'adore. L'atmosphère est humide, un peu plus qu'a l'ordinaire, les orages se font un peu plus fréquemment alors ça m'avantage, je m'entraîne beaucoup durant cette période et c'est en général la que j'apprend de nouvelles techniques pour mon Raiton. Et puis il ne fais pas trop frais et pas trop chaud. Bon il fait rarement chaud ici, je l'accorde ... En même temps les saisons, ce n'est qu'une histoire de mois, chaque pays à ses caractéristiques climatiques. Yuki sous le soleil, cela n'arrivera jamais je pense, ou Suna sous la neige. D'ailleurs quand j'y pense, je ne suis jamais allée à Yuki, boire un saké la bas un de ces jours pourquoi pas ?

Sinon j'étais là, dans ma chambre à me regarder, presque avec dégout dans le miroir, j'étais nue, mais pas pour autant inoffensive et loin de là. Je ne rate jamais une occasion de mordre. Les yeux fermés, une main sur le coeur je fis glisser la porte de l'armoire pour en prendre les vêtements que j'avais choisi auparavant. Ce soir j'avais décidé de sortir en civil, au revoir les bandes et les kimono, un peu de féminité dans ce monde de brutes. J'enfilais alors rapidement le nécessaire, le short, le haut et je me dirigeait rapidement dans le salle de bain pour me coiffer, les cheveux détachés, c'était assez rare chez moi, et je les coiffaient légèrement pour enfoncer un chapeau de cow-girl sur mon crâne rond. Enfin le fait que je m'habillais en lui même n'était pas non plus très intéressant. Bottes chaussées, je sortis de mon simple appartement qui contenait vraiment juste ce qu'il fallait pour une personne. Malgré le richesse de son clan, je n'acceptais pas d'habiter l'une des plus grandes résidences de mon clan. C'est moi qui aide, pas moi qui me fait aider ! Puis une fois fermé, je déambulais dans les rues de Kumo, le quartier était assez calme mais une fois au centre, c'est une autre histoire. La brouhaha se fis de plus en plus dense à chaque pas que je faisais sur le sol glacé de la ville. Des lumières se dégageaient d'un endroit particulier. Un bar que je n'avais pas encore fréquenté. D'un pas assuré je me dirigeais par là bas. La porte déjà ouverte, mon entrée se fis discrete. Une fois vraiment au coeur de la pièce, mon corps se durcit, mes poings serrés, la tête baisée, je restais en silence absolu. Et puis: un sourire en coin, une inspiration, un regard joueur et les sourcils froncés, je levai la tête pour m'exclamer d'une voix si imposante que tout le monde se tût :

Y'a que des petits joueurs ici !? Pas de saké qui coule à flot ?

Et la un silence presque pesant prit place dans la pièce conviviale. Puis au bout de quelques secondes d'attente, un homme d'une trentaine d'année se leva, un rictus aux lèvres. Il semblait avoir envie de rire mais se retenu. Apparamment dans la pièce il y en avait quelque uns qui savaient déjà qui j'étais. Il y avait même un membre de mon clan, qui semblait vouloir se cacher de mes yeux. Du genre " il ne faut pas qu'elle me voit dans un bar, je vais me faire passer un savon ". Je rendis le rictus que l'homme m'avait lancé et celui-ci s'approcha lentement de moi. Ce n'était pas un gros barbu et loin de là, un homme appréciable, mais qui semblait un peu trop fréquenter ce bar. Bon je ne suis pas du genre à apprécier les hommes, sobre en tout cas. Le garçon lança un regard au barman et celui-ci semblait comprendre. Il sorti deux bouteilles de Saké et je pris place sur un siège au comptoir du bar, à coté de l'homme qui me rejoint sans attendre. Et d'un grand sourire il lança assez amusé :

Je te connais toi, j'me demandais si tu savais t'amuser des fois. Et en plus je vois que t'es douée pour te faire payer ton saké. Je me suis fais avoir ?
Qui sait ...

Les hommes sont idiots n'est ce pas ? J'observais la bouteille et la coupe à coté, et à la surprise de tous c'est la bouteille que je pris entre mes doigts. Pourquoi ? Et bien cela faisait un moment que je n'avais pas été assignée à une mission, je m'ennuyais, aucune action, même plus envie de réfléchir à mes futures gestes. Une gorgée, puis une autre .. Les joues rouges, les yeux à demi-clos. Avais-je précisé que malgré ma grande gueule je ne tenais pas l'alcool ? Je le voyais toujours cet homme qui riait aux éclats, l'ambiance était là, et je souriait doucement. Les gens sont cons, et bourrés c'est pire, mais c'est drôle. L'homme se feaiait interpellé d'un " Reï ". Alors j'en déduit que c'était surement son nom hein ? J'ai rigolée alors a mon tour sans vraiment savoir pourquoi et alors que Rei avait toute son attention sur moi, je rigolais encore plus fort et criait presque, les larmes aux yeux :

Ca y est, je me souvient de toi ! T'avais pissé dans ton froc durant une mission y'a quelques année, j'étais là ! T'avais aussi une espèce de verrue sur le nez à l'époque, je constate que tu te l'est fait enlevée !

Et là j'étais à deux doigts de tomber du tabouret, le me tenais le ventre tellement l'envie de m'esclaffer était bien trop forte. Rei lui ne semblait pas vraiment bien le prendre alors que la scène de cette mission me revenait en mémoire. J'avais aussi rigolé. Et d'ailleurs tout les membres ou ivrognes de ce bar m'avait suivit et se marraient aussi. Il se sentait assez mal et il s'écriait " Ca compte pas, j'étais malade ". J'avoue cela ne se fais pas de se marrer mais quand t'as dépassé la vingtaine d'années quand même, se contenir c'est mieux non ? En tout cas le rouge sur son visage n'était plus de la gène mais bien de la colère envers moi. Ni une ni deux qu'il m'attrappa le col de mon haut. Et je souriait de toutes mes dents. Ceux qui me conaissaient, bien que je soit jeune savait de quoi j'étais capable et certain se reculèrent. Ma main droite libre, je concentrait un peu de chakra Raiton dans mon index et mon majeur et je posais gentiment ceux-là sur le nombril de l'homme. Il ressentit seulement quelques chatouilles qu'il n'avait sans doute pas percuté étant un peu saoul. Il n'avait pas percuté qu'il avait été "marqué ". D'un air innocent je lui souffla :

Si tu veux me régler un compte, on fais ça dehors hein ? Je ne tiens pas à détruite .. trop .. ce bar, il a l'air cool, je garde .. Même si les ivrognes comme toi à l'intérieur ne son guère sympathique ...

Je le força à ma lacher et en souriant assez bêtement, je marchait droit jusqu'à la sortie du bar. Je fis coucou à tout le monde et un clin d'oeil avant de disparaître dehors. Ne sachant pas comment réagir, ils ne firent rien mais accoururent à la porte pour observer ce qui se passerait. Rei m'avait suivit d'un pas par très équilibre et se positionna devant moi, à cinq mètres. Il devait faire environ un mètre 80, brun, pas très imposant et une cicatrice sur la joue. Alors que j'étais là, souriante comme jamais, une main posée sur ma hanche près de mon arme, l'autre bras derrière mon dos, j'attendais de voir de quoi un Juunin de trente ans, saoul, était capable .. ;D

[Ma tenue est celle de mon avatar.]

La journée, pour notre Kage, n'avait pas été de tout repos, mais enfin, oui enfin, il était parvenu à débarrasser son bureau de la montagne de papier le recouvrant et il avait, pour la première fois depuis qu'il avait obtenu ce titre honorifique, vu le bois duquel était fait ce meuble. Bien sûr ce n'était qu'un meuble comme tout les autres, mais avec le temps, Arashi en était venu à se demander si ce bureau n'était pas en lui-même constituer de papier. Que ce fut une agréable surprise pour lui de ne voir personne, après qu'il est compléter son travail, entré dans cet pièce suscitant tant de respect. Malheureusement pour lui, toute la journée était passer et il n'avait pu profiter de la chaleur qu'avait amené le printemps. Il fit pivoter sa chaise, se retrouvant face à la ville dont il avait obtenu la "garde" peu de temps auparavant. Il ne pouvait nier ce sentir fier d'avoir obtenu un rôle si important, mais ne pouvait non plus nier le dégoût que ce rôle suscitait chez lui. Oui, vous avez bien lut.... Dégoût... Car ce rôle impliquait de protéger au coût de sa propre vie chacune des vies de Kumo, mais alors, comment pourrait-il assoupir sa soif de vengeance s'il mourrait avant même avoir pu faire un pas vers son but? Puis, songeant à la multitude de possibilité qu'offrait ce poste, songeant au pouvoir que lui offrait ce tire sur la population du puissant village caché du pays de la foudre, il eut une idée. Encore une fois, sa langue de serpent, vicieuse et indomptable, lui serait d'une grande aide. Il se leva de sa chaise et contempla la ville d'un air enthousiasme.... Il se souvenait aujourd'hui d'une chose qui était enseigné aux académies ninja de ce monde, quelques paroles qui jamais n'étaient oublié d'un shinobi ; La guerre et les batailles impliques souvent beaucoup de sacrifices, beaucoup de morts même parmi ces proches. Bien entendu, ceux-ci n'étaient pas les mots exactes, mais c'est ce que Kenji avait déduit des paroles de son maître....

Sur cette pensée le jeune homme s'arrêta, avant que de vieux souvenirs l'emporte encore une fois dans une interminable mélancolie. Il crut plutôt bon de se changer les idées, d'oublier tout ceci pour quelques temps et de simplement profiter de sa nouvelle vie. Il fit donc demi-tour et quitta la pièce, y enfermant ces réflexions sombres. Il ferma la porte à clé, comme s'il craignait que ses tourments ne puisse le rattraper puis sortit de la tour. Une fois à l'extérieur, il prit une bonne bouffée d'air fraîche. Oui, l'air ambiante était bien fraîche et humide, car c'est connu, au printemps, les journées sont chaudes et les nuits bien froides... Il leva les yeux vers le ciel et soupira ; Comme toujours, à Kumo, le ciel était gris et les astres invisibles, ce qu'il trouvait plutôt dommage. Les nuages semblait surcharger, prêt à se déverser à la moindre anomalie climatique. Peut-être une orage électrique se préparait-elle? Ce ne serait rien de nouveau en ces terres mornes. Il ce prit la tête à deux mains avant de baisser les yeux vers le sol, il ferma les yeux un instant, le temps de décider ce qu'il ferait de sa soirée, désormais libre. Il ne mit pas de temps à trouver.... Il devait s'amuser! Arashi s'empressa de se rendre chez lui : Il devait se changer.

Enfin arrivé à sa modeste demeure, il se dirigea à la seul chambre à coucher et retira l'armure protégeant son torse. Il détacha le foulard couvrant sa bouche et détacha sa longue cape blanche, mais il ne comptait pas changer de pantalon, ni retiré les armures protégeant ses jambes et ses avant-bras. Il enfila un un haut noir aux extrémités dorés, ample et confortable il couvrait l'entièreté de ses bras, mais laissait voir son torse. Celui-ci passait sous sa ceinture et y disparaissait. À l'arrière du vêtement apparaissait un symbole inconnu des gens de Kumo, la preuve qu'il appartenait au clan Arashi. Il se regarda dans le miroir un instant, ce répétant qu'il semblait ridicule ainsi vêtu. Il n'avait pas porter ce bout de tissu depuis ce qui lui semblait être une éternité. Malgré tout, il quitta la maison et partie à la recherche d'un endroit ou il pourrait s'amuser, se laisser aller.

Le jeune Kage sautilla de toit en toit à la recherche de l'endroit idéale. Il passa quelques bars, peu intéressé par ceux-ci, puis s'arrêta sur l'un d'entre eux, y observant une scène des plus amusante. Un amas de personnes se trouvait à l'extérieur du bar et l'une d'entre elle n'était certainement pas méconnu de tous, encore moins du jeune Kage.... Elle était un fouteuse de trouble, mais aussi une ninja surprenant : La jeune Chef du Clan Asuka. Comme toujours, elle ne faisait qu'ajouté du piment et de l'action à la vie ennuyeuse des gens du village de la Foudre. Il se laissa tomber silencieusement, se glissant parmi les spectateurs. L'un d'entre eux remarqua le Raikage et voulut avertir les jeunes gens, mais Kenji le stoppa, lui priant de ne pas gâcher le spectacle. Il voyait déjà le jeune homme se faire mettre une raclé. Évidemment il comptait les stopper au on moment, mais pourquoi ne pas s'amuser un peu....

C'est alors qu'il remarqua le déséquilibre étonnant dont faisait preuve le jeune homme auquel le petite diablesse faisait face. Il ne semblait pas dans son état, comme si la jeune femme avait fait quelque chose. Arashi, fronça les sourcils et réfléchit bien. il avait entendu parler de quelques techniques du clan et se demandait s'il y avait un lien. Malgré le fait que la jeune Asuka soit, de toute évidence, sous l'effet de l'alcool, elle était capable de bien plus qu'on ne pouvait le croire. Curieux, Kenji demande à l'homme qu'il avait interpellé plus tôt :

"Tu n'aurais pas vu la jeune femme faire quelque chose d'Étrange?..."

L'autre mit quelques secondes a répondre, réfléchissant sans doute aux événements qui avaient susciter l'envi de combattre chez les deux shinobis. Il finit par lui dire, avec incertitude, que le jeune homme avait été touché au nombril par Temi, mais que rien n,était arrivé. Arashi comprit vite qu'elle ne l'avait pas simplement touché... Le raiton pouvant aisément perturbé le système nerveux. Il demanda alors à l'homme ce qui était arriver dans le bar pour qu'ils en viennent là. Celui-ci prit le temps de bien lui expliquer les événements en détails, depuis l'entrer de Temi dans le bar à leur sortie. Le Raikage laissa tomber un long soupire , basculant la tête de gauche à droite. Il s'avança vers l'avant de l'attroupement et s'écria :

"Ohlala.... Temi.... Tu es vraiment une cause perdu...."

Je riait beaucoup, dans un mélange de bon coeur et de moquerie. Cette scène en pleine mission ou l'incident technique avait eu lieu avait prit place dans la salle principale de ma cervelle. Les spectateurs nous regardaient, certains impatients, méfiant, craintifs ou justes bourrés. Je mise alors ma main dans mes cheveux alors de tortiller gentiment une mes mèches brune chocolat ou les pointes de vanille faisaient leur apparition, un rictus gentille faisait apparition sur mes lèvres. Ce village était trop vide en ce moment, pas de missions ou alors sans intéret, rien à signaler, c'était d'un ennui, il suffit de faire bouger les choses non ? Se sentait mes doigts doucement frémir d'éxitation eux aussi quand je fus coupé dans mon élan par une voix que je conaissais très bien. Je tournais lentement mon visage à un peu près 45 degrés vers la droite pour avoir vue sur celui qui avait décidé d'ouvrir sa bouche. Mais ce " celui " n'était pas n'importe qui, pas question de l'impliquer dans le reglèment de compte amical ( en tout cas qui l'était pour moi, je n'avais rien à reprocher à l'ivrogne, je le voulais juste pour savourer ma soif de victoire que je n'avais pas connu depuis un moment ). Mon corps se stagna durant une dizaine de seconde, le temps que ma cervelle comprenne et se souvienne. Il faut croire que l'alcool ralenti la reflexion mais étrangement chez moi, accélère mes gestes. Un mal pour un bien. En gros buvez de l'alcool avant un combat mais pas avant une partie d'echec quoi. Je me gratta le sourcil un instant et me remis à regarder le gars devant moi, toujours rouge de colère mais il ne tiendrais pas lontemps. Si il me cherchait, un de mes disques traqueur atteindrait sa cible quoi qu'il arrive, donc lui. J'ai toujours trouvé cette attaque génial de marquer son ennemi et de le rendre magnetique pour que les attaques fassent mouche. De plus le marquage était si discret que l'adversaire ne sentait rien. Après le faire de façon subtil pour ne pas éveillé le soupçon, c'est un défi assez drôle. Puis le Juunin fonce sur moi et d'un coup je me décala juste d'un mètre cinquante et dans la course ratée il rentra dans un de ses amis et les deux tombèrent sonnés. Un grand sourire se dessina sur mes fines lèvres de jeune adulte, leva la main et l'agita en direction de mon plus grand supérieur, comme s'il s'agissait d'un ami.

HouuuHou Raïkage ! Ara'-kun.

Vous pouviez en même temps remarquer que dans tout le village de Kumo, j'étais surement la seule à oser lui donner un surnom et utiliser le suffixe "Kun" à son égard. Je doutais d'ailleurs qu'il apprécit mais s'il était ici c'est qu'il n'était surement plus en service. Puis doucement je m'approchai sans aucune crainte ou timidité, aucune méfiance un sourire étiré jusqu'aux oreilles. Je finis alors ma petite marche en me mettant à un mètre du corps fort de mon supéieur, d'ailleurs cela ne me dérangeait absolument pas que cet homme soit mon supérieur, il était un homme respectable bien qu'il était pas vraiment très marrant. En tout cas je ne me souvenait pas de l'avoir une fois entendu rire. Bah après moi j'dis chacun son truc hein ? Je posa une de mes fines mains débordante d'énergie sur l'épaule du Kenji et ne cessa pas de lui sourire en captant son regard. J'allais surement me faire passer pour une dégénérée auprès de lui, mais je m'en moquais carrément en fait. Puis, ayant complètement zappé l'autre ivrogne, je lui fis un clin d'oeil en parlant d'une voix amusée pas très forte vu que je ne m'adressait qu'à lui et qu'il se trouvait tout proche de moi.

Première fois que je vous vois sappé ainsi, ça vous va bien, on voit complètement votre visage et la nuit est à la fête, souriez.

Puis sans vraiment réfléchir à mes actes, ne sachant même pas si j'en était capable, je posai mon index sur la joue de Kenji et le bougea à droite de façon à étirer un peu ses lèvres. Les autre ninjas eux était plutôt préoccuper à aider, et surtout à se moquer de l'autre Juunin auquel je ne faisait même plus attention. La venue du Kage avec aussi rendu quelques personnes assez stressés ou d'autres qui partait, tandis de d'autres le regardait surement en train de penser un tas de compliments sur la personne. Et si ça se trouve en me voyant si à l'aise avec lui, ils s'imagineraient des trucs. Mais bon, c'est connu, je suis à l'aise avec n'importe qui ! Puis c'est alors trois ans plus tard, donc à ce moment là que je percutais la remarque peu glorieuse du garçon. Moi fouteuse de troubles ? Bah ouais. Mais bon me le faire remarquer genre " Olala, qu'à t'elle fait encore ? " me faisais rire mais là je m'en empécha simplement. Un sourire en coin de lèvres je posai une main sur ma hanche et lui répondit simplement :

Si j'dérange, je peux très bien m'en aller. A Konoha ils seront surement ravie de m'acceuillir non ?

Je parlais du village des feuilles car j'en conaissait Tsunade, la Hokage. J'admirais vraiment beaucoup cette femme si incroyable. Lors d'une mission je me souvint avoir eu une bonne appréciation de cette dernière. Cette femme était une exellent ninja médecin. D'ailleurs je devais avouer que c'était grâce à cette femme que j'avais appris l'utilité de ce genre de medecin. La capacité à rester jeune et belle, même à 50 ans, je trouvais cela fascinant. Bon Ok, je n'étais qu'au début de ma formation de ninja médical mais bon, je n'est personne pour me supervisé, l'idéal serait ce Hokage mais bon. Je sais deja soigner les plaies, c'est un minimum mais utile. Et puis cette Tsunade, cette créature sur-puissante est aussi une grande amatrice des bars du monde ninja. Un point comum non ? Une femme qui sait s'amuser. Puis gardant ma position je finis par demander, oubliant carrément les autres qui semblaient avoir repris leurs occupations, pas vraiment pour ce combat entre Juunin.

Alors ? Vous venez boire un coup ou vous avez autre chose à faire ?