Narahiko Nobukazu

¤ Aspirant Ninja de Konoha ¤ Messages : 5 Date d'inscription : 26/03/2009

Nom :
Nobukazu

Prénom :
Narahiko

Age :
9 ans

Grade :
Genin [Et encore, devrais-je plutôt dire aspirant ninja? Mais bon, puisqu'il possède de trois techniques alors… cela inclus qu’il peut malaxer le chakra à son aise. Toutefois, dans la mesure du possible, prendre note qu’il n’a aucune autres techniques ni même ceux que l'on apprend à l’académie puisqu’il n’y est jamais allé. À la demande : même à faute d’incohérence, si cela est possible, j’aimerais bien débuter aspirant ninja.]

Village Natal :
Inconnue

Village/Organisation Souhaité :
Konoha

Histoire :
Voir prochain poste

Description Physique :
Cheveux grisâtre, blanc, flamboyants, yeux du tout contraire, noir ténébreux, obscur et pupille de cette même teinte. Ton bronzé, plutôt foncé, musculature naissante, saillante. Le miroir révèle tout, le reflet n’est que réalité, façade impartiale du présent. Je me tiens devant ce réflecteur, je l’effleure du bout des doigts, elle est froide, à moins que ce ne soit ma peau brûlée qui soit, paradoxalement, glacée. Succession d’actions peu maîtrisées, voilà à quoi se résume ma vie. C’est elle qui a forgée, depuis l’aube de cette flamme encore inconsumée, ce corps meurtri, le miens. Oui, sur ce parchemin basané constituant mon enveloppe corporelle ultime cours multiples griffures, balafres, cicatrices, stigmates, taillades, scarifications, mutilations, toile incomplète et non reliée, témoignage d’un passé tourmenté, articulé autours de la magnifique beauté de la mort. Oui témoignage que la mort elle-même a apposée ses longues griffes acérées sur mon corps, et vous verrez plus tard qu’il en va de même avec mon esprit.
Laissez mon enfiler mes habituels atours, couvrant ce corps choquant de la vu de tous. Pantalon simple noir, chemise noire, manteau blanc, d’un blanc purificateur. Silhouette blafarde, ultime nivéen platiné, opalin encapuchonné et ganté. Sacoche de cuir sombre pendant lamentablement à mon épaule.

Description Mental :
La mentalité de Nara est très dure à cerner, surtout que personne ne connait exactement son histoire, ce qu’il a traversé, d’où il vient et comment en est-il arrivé là. D’une froideur impénétrable, un rideau de glace le séparant de son environnement, une distance semblant infranchissable, la barrière. Son attitude placide, exemple de neutralité, de glace devant n’importe qui, n’importe quoi et devant n’importe quelle situation. Son langage se fait cru, franc, qu’on pourrait penser irréfléchie ou idiote digne d’un pessimiste endurci. Rajoutez à cette attitude froide et distante, à son parler particulier son physique singulier et vous percevez ce qui constitue la carapace indestructible de Nara. Si jamais vous avez la chance de passer outre cette protection (exploit) vous découvrirez un homme d’une douceur incroyable, serviable, dévoué, fidèle …il est loyal et honnête envers le peu de personnes auxquelles il s'attache et qu'il est en général contraint de quitter subitement Son esprit noir et torturé le pousse à se sentir coupable de beaucoup de choses. Son raisonnement justement … Il le pousse toujours très loin avant de faire quoi que ce soit, anticipation et organisation sont ses maîtres mots, ne rien laisser au hasard, ne pas être surpris, ne pas laisser un avantage à l’adversaire. Descendent des chauves-souris, il erre les endroits obscure et faible d’éclairage. Malgré toutes ces complications dans son esprit dur à comprendre, ne pas s’en faire car vous n’aurez surement même pas l’occasion de voir le personnage dans son intégralité.

Test RP :
(Donner par un administrateur)

Avez vous lu les règles ? :
[Validé Mitsu']

Comment avait vous connu le forum ? :
Naruto vs Sasuke Top 100!

Première impression du forum :
Très bien réussis, lisible, beau design m'enfin. J'adore. Pour être franc, l'un des meilleurs jusqu'à présent pourr ce qui est de la lisibilité.

¤ Aspirant Ninja de Konoha ¤ Messages : 5 Date d'inscription : 26/03/2009

*Histoire*

’’Pourquoi ne pas dire que la vie n’est que le fruit d'une destruction d'un ordre parfait? L'univers ne serait que les ruines de cet ordre, et l'humanité alors… ne serait qu'une vague flamme fugace encore non consumé.’’

Tel serait mes mots si l’occasion de vous parler s’avérait possible. Et moi, qui suis-je au travers de cet éphémère spirituel existence?... Je suis un monstre… Je l’ai découvert dans un recoin de la vérité, en dévisageant mon reflet dans ce miroir amer qu’est le monde. Un miroir, plutôt un cachot de verre, qui m’emprisonne dans une spirale de mensonges et d’espoirs brisés.
Lorsque je veux étendre ces serres terrifiantes qui ont pris la place de mes mains, ces doigts tordus et tranchants ne rencontrent que la paroi dure, et y laissent une trace sonore et sanglante. Peu importe. La pluie et les larmes effaceront ces rigoles écarlates.
Enfin. Ces phalanges immondes sont tombées en poussière, et ce corps tout entier les suit dans l’oubli. Je suis prêt…

Je les ai observés, ces êtres palpitants, brûlants de vie. Je les ai observés, drapés dans mon mutisme, et j’ai envié leurs sourires, leur chaleur et l’insouciance de leurs gestes. Je les admirais tant…
Puis j’ai voulu me mêler à leurs danses colorées, m’enivrer de leur suffisance, et bâtir mon paradis sur leur enfer. J’ai été un temps… leur roi. Je levais les sceaux de leurs secrets, je dévorais leurs rêves et leurs peurs, je me repaissais de leur faiblesse. Mais peu à peu, le piège s’est refermé… Leurs regards se sont tus, leurs promesses hypocrites m’ont asphyxié, et un châtiment prétendument juste a condamné mes actes.
J’ai voulu porter l’amour ! Mais je l’ai brisé dans mon étreinte, petite chose fragile, et ses derniers fragments ont été balayés par des vents qui chuchotaient le mépris.
Déjà le passé me rattrape : j’ai désiré, et cette ardeur m’a consumé. J’ai aimé, et je l’ai payé de mes jours. La douleur a appelé la honte, qui désormais perce ce crâne faiblissant, comme pour sucer la noirceur sourde qui s’y terre.
Soudain, je veux m’extraire de cette prison. Mais l’égoïsme y a tissé mes chaînes. Un grand cri pense jaillir, mais je n’ai plus de bouche. Oh, comme je souhaiterais changer ce paysage immobile… Hélas, il y a bien longtemps que cette réalité m’a banni.

Alors j’entends que ma poitrine éclate, et je sens qu’arrive la mort. Le néant, la fin de l’horizon. Et pourtant… Je suis moins terrifié par sa venue que par ces quelques secondes… qui me séparent d’elle.
Une dernière fois la beauté s’approche et me contemple sereinement, moi l’animal en cage, moi le destructeur avide, moi le paria de son bonheur. Qu’elle s’en aille, je lui préfère les limbes… Je ne posséderai jamais son corps, et je suis le seul à blâmer.
De ma lente décomposition ne reste que mon cœur, gangue de chair putréfiée. A présent il se brise, fendu par deux ailes acérées. Une créature sans nom s’en dégage, refoulant sans douceur les vestiges de mon être. Ses yeux aux mille facettes scrutent la lumière, ses longues antennes s’agitent, à la recherche… d’un ailleurs.

Vole, engeance apocryphe, vole et trouve un autre univers ; celui-ci m’a rejeté, vomi hors de sa matrice. Vole, chaos noir de mes songes, vole… Je resterai à tes côtés, car tu es moi, et je suis toi.
Étends tes vibrantes ailes noires, et projette-toi là où je n’ai osé aller…
Toi le supplice de mes vœux, toi le purgatoire de mon âme…

Toi mon papillon d’acier.

*****

Citation :

Le ciel, rougeâtre tournoie au rythme d'un bal de longs fuseaux de nuages ocre au dessus de ma tête. Je regarde devant moi et tout se brouille. Bien qu'immobile, j'ai l'impression de voyager à la vitesse lumière. Seule une petite fraction de mes sens est nette, le reste n'est qu'un énorme flou tumultueux. Mes bras me brûlent et en baissant les yeux, je ne peux qu'à peine deviner la silhouette de mes mains au travers d'un torrent de fibres lumineuses, dansant de leurs teintes violacées. Soudain, je sens l'une d'elles virer au rouge dans mon dos, en rouge sang. Je me retourne pour faire face au danger qui me fonce dessus et ...

*****

*Toc-toc-toc*

Mes yeux s’ouvrent d’un coup et je ne vois plus que le plafond de ma chambre. Des flashes dans ma tête transforment l’austérité de celui-ci par intermittence en un plafond d’un blanc immaculé, lumineux, éblouissant. Je secoue ma tête pour revenir au sang-froid. Je m’assois sur le rebord du lit. Les mains sur lesquelles je repose serrent résolument l’armature métallique jusqu’à en avoir les jointures blanches. La porte est imperceptiblement entre-ouverte, laissant traverser un faible rayon de lumière. L’air ambiant est chaud, l’atmosphère est lourde. Une odeur de sueur flotte, mêlée à mon parfum. Ma respiration se calme, je me détends enfin, mon cœur ralentit... Une mixture liquide, fluide et humide descend tout au long de mon visage ; une larme. Je la laisse couler, jusqu’à ce qu'elle ne s’éteigne d’elle-même. Je me sens rattrapé par le temps, happé par mes souvenirs … Je me lève. Les torrents de '' Toc-quements '' rythmiques s'accentuent tendis que je traverse les pièces l'une à l'autre jusqu'à en retrouvé cette porte vacarmeuse. Je l'ouvre enfin. Un rayon du soleil s'incruste et persécute la paroi de mes yeux encore sensible et restreinte, ne me laissant voir qu'une vaste silhouette ombragé ; Mon oncle. Je recule de quelques pads puis prends la direction de ma salle de bain, l'abandonnant derrière. Je me glisse dans la douche et fais couler l’eau doucement sur ma peau. Après avoir savouré cette agréable sensation je sors et me sèche devant le miroir. Mon reflet se déforme, mon corps s'engourdit... mon inconscient évoque les débris de flash qui occupent mon âme. Oui, enfin je m'en souviens... Suivez-moi j’ai des choses à vous raconter …

~¤~ Chapitre I : Chétif enfance ~¤~

Citation :

Se matérialise devant moi une pièce ronde d’un gris sobre et froid. Le plafond est si haut que j’ai peine à le voir. Il est tellement blanc, je ne peux l’observer continuellement, mes yeux se fatiguent. J’empoigne vivement la jambe de ma mère quand la porte grince et s’ouvre finalement dans un fracas assourdissant. Deux hommes en habits blancs, autant que l’étrange plafond, apparaissent et s’approchent de nous. Je sens un tremblement, celui de ma mère, elle tremble de tout son corps mais je ne peux me résigner à la lâcher. Elle éclate en sanglots et me pousse derrière elle, je ne peux résister, je sens sa détresse, je ferai tout ce que je peux pour qu’elle se sente mieux. Les deux hommes nous entourent, ma mère comme à leur dire « Non ! Non ! Laissez-nous ! Pourquoi faites-vous ça ? Laissez-nous tranquilles ! ». Je ne peux me retenir plus longtemps et me mets à verser des larmes à mon tour. Puis tout d’un coup le seul contact que je sens est le latex glacial et lisse, je me perds, le décor tournoie autours de moi. J’en tends des bruits de pas au loin et ma mère hurler qu’elle m’aime et que tout ira bien. Enfin je sens quelque chose de pointu et de dure pénétrer ma peau, un liquide s’immisce dans mes veines, je perds connaissance.

Je me réveille, c’est alors que je comprends qu’on m’enleva à ma maman. Des chercheurs viennent m’expliquer que c’est pour m’enfermer dans un puits de désespoir et que j’y resterai pendant 45 jours. Les chercheurs se nomment eux-mêmes psychologues et étudient pour arriver à des conclusions sur l’impuissance et le désespoir caractérisant la dépression humaine. Je reste donc là, recroquevillé dans mon coin, les bras ceinturant mes genoux ramenés contre ma poitrine. Parfois une mère de substitution vient, je la prends quand même dans mes bras tellement l’affliction et le tourment m’atteignent. Je me sens moins seul. Mais de temps à autre celle-ci me lance des piquants ou des chocs électriques. Ma seule réaction n’est autre que de me réfugier dans mon coin en gémissant pour me protéger. J’attends alors qu’elle arrête pour revenir me blottir en sons étreinte. Les psychologues veulent étudier le comportement d’un enfant en situation de rejet maternel …

On me met une boîte en métal sur la tête et on frappe dessus à coups de marteau pour me causer des traumatismes crâniens et examiner l'état de mes réflexes après cette torture. D'autres coups de marteau sont nécessaires pour m'enlever cet enfer de métal. Les « chercheurs » veulent ainsi savoir dans quel état seraient les réflexes d'êtres humains après avoir subi un traumatisme crânien !

Voilà dans quelles conditions les sept première années de ma vie se déroulèrent, dans l’angoisse permanente et dans l’attente d’une nouvelle torture. Je fus victime d’expériences monstrueuses qui transformèrent mon corps et mon esprit. Je traverse ma chambre pour m’installer à mon bureau, je sens l’inspiration monter en moi. Ma main commence à gratter sur le papier la suite de mon histoire. Décidément, ce matin n’est que réminiscence …

~¤~ Chapitre II : La libération ~¤~

Citation :

Le jour de mes sept ans. Un psychologue entre dans mon haut et étroit cylindre de métal. Je me racorni le plus loin possible, craintif. La suite est pourtant très simple, il s’accroupit devant moi et m’explique avec des paroles simples agrémentées de gestes, leurs conclusions de leurs études et le but de tout ceci. Au fur et à mesure qu’il parle je m’intéresse de plus en plus, ainsi donc je comprends que l’expérience nécessite sacrifice. Dans ma tête je n’entends plus l’homme devant moi me parler, je vois juste ma vie défiler, les dix dernières années de ma vie défilées. Il m’explique leurs expériences, me dit lesquelles ont fonctionnées, lesquelles ont échouées. Il me montre les rapports, les conclusions et leurs nouveaux objectifs. Puis il me dit ne plus avoir besoin de moi, je suis libre. Tout simplement libre. Il continue de parler, me débitant tout un tas d’informations superflues. J’en retiens quelques unes : ma mère est décédée de chagrin, mon père est inconnu car ma mère était une catin et pour les services que j’ai rendus j’ai le droit à divers privilèges de la part de la société. Je me rends compte qu’il ne parle plus, quel bonheur. Je me lève fébrilement, j’ai l’impression que tout cela est sur le point de me retomber dessus. Alors je me dépêche de sortir. C’est la première fois que je franchis le seuil de cette porte de mon plein gré, les fois précédentes j’étais attaché ou on m’embarquait de force grâce à des camisoles. Je considérais cet endroit, ce cylindre comme mon bouclier. Je désire maintenant le quitter plus que tout. Mes pas résonnent dans les longs couloirs de la gigantesque académie. Je me laisse guider par l’homme, le psychologue. J’arrive dans une pièce où je choisis mes vêtements. J’opte pour un ensemble noir pour porter le deuil. De quoi ? Aucune idée. Je demande à recevoir un enseignement mais on me dit que ce que j’ai vécu m’a déjà fournit une évolution et on me confirme que je n’ai aucun retard sur les autres garçons de mon âge, ce serait même le contraire parait-il … Je sors donc. Pour la première fois le soleil vient me frapper de ses rayons, pour la première fois je sens la caresse du vent, mes cheveux virevoltant comme si des doigts invisibles venaient les soulever. Je regarde le monde et décide de mon avenir.

Je m’arrête un instant, les émotions son trop fortes en moi, elles remontent trop rapidement. Ces souvenirs font si mal. Une main vole et passe au travers de mes cheveux. Je m’humidifie le bout de l’index et du pouce avant de me les passer sur les sourcils. Ma langue vient chatoyer mes lèvres. Je me repenche sur ma feuille, grattant de nouveau …

~¤~ Chapitre III : Les découvertes ~¤~

Citation :

Tout n’est que découverte. Je comprends alors le but des chercheurs qui m’ont retenu pendant 10 ans. Je sens en monter une passion indescriptible pour l’inconnu. Bien-sûr je ne vais jamais jusqu’à pratiquer sur les autres, le seul sujet que j’accepte est moi et moi seul. Je recherche, j’expérimente. Tout en voyageant. Je crois que ma première quête est l’exploration de mon corps. J’apprends énormément de choses de moi, mais aussi des autres par l’intermédiaire de leurs propres expériences ou de livres traitant de divers sujets. Je note absolument tout, craignant la défaillance de mon cerveau, dans mon petit carnet. Au gré de mes voyages je retrouve mon père, un défi que je me suis lancé et que j’ai relevé. Ce fut une personne couarde et sans intérêt qui ne m’intéressa pas plus de 10 minutes. A l’opposé je fais une découverte presque en même temps sur mon corps au sujet de mon sang. Il a des capacités étonnantes que personne ne prête normalement à ce liquide rougeâtre. Il a la faculté de désolidariser la matière, oh il ne l’anéanti pas mais mes expériences montrent qu’un solide soumis à mon sang est beaucoup plus fragile. Tout le reste de ma vie est voué à l’étude approfondie où m’a menée cette découverte.
J’étudie l’alchimie et rencontre les plus célèbres alchimistes du monde entier. Je développe cet art jusqu’à en devenir un véritable expert. Allant de paire avec celui-ci je suis obligé d’étudier beaucoup d’autres choses comme les minéraux ou les plantes mais aussi la physique et les lois de la nature. Livres, récits, romans, encyclopédies, poèmes, tout est alors bon pour s’enrichir et s’informer. Mes sources proviennent de partout et de n’importe qui, là où je m’arrête je collecte ce dont j’ai besoin. Mais je reviendrai en détail sur cette partie de ma vie une autre fois, c’est bien trop long à expliquer comme ça. Parfois je me déplace même exprès à un endroit pour en percevoir ce que je cherchais. Finalement mon voyage prend fin, je pose mes bagages à terre, près d’une petite falaise du pays du thé, le plus au sud possible. J’entreprends alors mon premier grand projet pour m’exercer …

Je me lève compendieusement et me dirige avec hâte près de la fenêtre pour admirer le paysage et le figer dans mon esprit. Je l’ouvre ensuite car la chaleur se fait étouffante dans la ridicule pièce et retourne à mon bureau et me remets à la fastidieuse tâche.

¤ Aspirant Ninja de Konoha ¤ Messages : 5 Date d'inscription : 26/03/2009

*Suite*

~¤~ Chapitre IV : La construction ~¤~

Citation :

Me voilà donc devant le lieu qui deviendrai mon chez moi, le lieu que j’ai choisi pour habitat. L’herbe est haute mais ça ne me dérangera pas, la forêt est dense mais elle me servira, le sol abonde en diverses pierres et rochers mais encore une fois je m’en réjouis. Le vent vient charrier mes mèches grisâtres pendouillant lamentablement devant mon nez, je le sens m’apporter l’odeur du sel marin et de l’eau encore écumante. Décidément ce lieu est parfait pour moi, je m’y sens si bien. Je m’accroupis avec une grâce féline et pose ma main gauche au sol, un peu devant moi. L’herbe auparavant si haute commence à disparaître. Oh en fait elle ne disparaît pas, je n’ai pas ce pouvoir, elle rentre juste dans le sol. Quand la longueur me convient j’arrête mon action et me relève. Mon regard parcourt l’horizon un peu caché par les arbres environnants. Je m’avance vers le chêne le plus proche et pose ma main sur son tronc déformé par le temps et l’érosion, le tronc d’un marron sombre vermoulu. Je sens la constitution de ce tronc, principalement du carbone. Je remarque que le carbone est très malléable, peut-être car je le manipule depuis longtemps maintenant. J’agis lentement, rien ne presse, je prends le temps de sentir la moindre particule, le moindre atome. Puis, avec une rapidité étonnante, j’agis. Ce qui était l’instant d’avant un arbre, tombe à présent sous forme de planches de bois fines et nombreuses. Je m’approche d’un gros rocher nichant sur la falaise et répète le procédé déjà utilisé deux fois. Ma main s’appose sur le granit, les sensations m’envahissent, la pierre se retrouve sous forme de petites briques, empilées les unes sur les autres. Ainsi s’est déroulée la première application de mon pouvoir. Mais je me sens épuisé, vidé. Je dors à la belle étoile pour cette nuit …
Les rayons du soleil me touchent, mon visage me brûle, c’est insupportable. Je décide de me mettre sérieusement au travail dès aujourd’hui. Juste un problème vient ternir ce beau tableau. La fatigue imprévue d’hier me turlupine et me dérange. C’est la première fois que j’expérimente et je comprends maintenant le désarroi des chercheurs qui m’ont retenu il y a maintenant si longtemps. Ils ne désiraient que satisfaire une curiosité croissante et envahissante. Il en va de même pour moi aujourd’hui. Je me mets donc à la tâche mais le phénomène se reproduit encore une fois et la fatigue me submerge. Je m’endors à la belle étoile cette nuit encore. Je me réveille, fou de rage je me mets à étudier et à chercher : je pense à l’effet, ainsi je trouverai la cause. Il me faut résoudre ce problème dès maintenant, sinon je crains ne jamais finir les travaux. Durant toute la semaine qui suit je me plonge dans mes bouquins, étudiant divers phénomènes qui seraient arrivés à d’autres pratiquants. Puis je trouve enfin, après beaucoup d’efforts et d’acharnement. La fatigue est dû à l’action en elle-même, le chakra demandé pour agir à aussi petite échelle est énorme car la précision est chirurgicale. De plus les liaisons entre les atomes sont résistantes, j’utilise donc beaucoup de chakra aussi pour les briser. Le questionnement sur la résolution du problème ne se pose pas longtemps, j’ai déjà la solution … En moi … Les jours suivant, je me transforme en une véritable petite usine à sang, je remplis flacon sur flacon, me poussant à mon extrême limite. Puis je me laisse quelques jours de repos pour laisser le liquide affluer en moi de nouveau. Et ainsi de suite … mon stock devient conséquent, je me décide à passer à l’action, je n’ai que pris trop de retard. Je m’approche de la forêt qui me tenait tête il y a un mois à peine. Le vent siffle à mes oreilles, je me prépare, je décide à faire quelque chose de grandiose. Je m’élance en avant et projette mes flacons remplit de sang à répétition sur les grands arbres me faisant face. Chacun en reçoit un, le liquide ne tardant pas s’imprégner et à envahir sur l’écorce. Oui mon sang est en fait maintenant constitué d’hémoglobine normale pouvant remplir sa fonction première dans mon organisme, mais c’est devenu aussi un agent viral puissant se répandant à vive allure. Continuant ma course je passe précipitamment devant chacune de mes « victimes », apposant ma main à chaque fois sur leurs troncs. Sur mon passage l’immense forêt se retrouve réduite à l’état de tas de planches. Je m’arrête enfin, je suis essoufflé mais au moins je ne m’écroule pas ! Une grande victoire pour moi. Je sens enfin que j’ai trouvé l’astuce. Sur cette si bonne lancée je continue donc ma construction, mettant en place doucement des plans, transformant la matière nécessaire, agençant les matériaux.
Me voici trois mois plus tard, la construction que j’ai entrepris est enfin terminée, elle a durée plus longtemps que prévu car je l’ai agrandie au fur et à mesure de mes envies et de mes idées. Devant moi se dresse donc le fabuleux manoir que j’imaginais, du haut de ses quatre étages il s’étend aussi sous terre sur deux sous-sols. C’est extraordinaire, et tout cela de mes propres mains, tout seul … J’éclate en sanglot en m’agenouillant devant ce qui s’avère en effet la construction de ma vie. Pendant le chantier les moments les plus douloureux de mon enfance me revenaient un à un, mais je les ai combattus et les ai repoussés. Il me fallait comprendre certaines choses. Il me fallait en accepter d’autres …

Je suis confus, certaines choses me reviennent au fur et à mesure que j’écris, mes souvenirs sur cette périodes étaient vagues jusqu’à aujourd’hui.

~¤~ Chapitre V : Les explications ~¤~

Citation :

Je mène une vie tranquille depuis que j’ai achevé la construction de ma demeure. Je poursuis bien-sûr mes études en me faisant parvenir des livres au travers du monde entier. J’ai rajouté à ma culture celle de l’art ninja qui me passionne depuis qu’une bande de gamin m’en est vendu les mérites. Je m’entraîne donc tous les jours depuis, perfectionnant mon physique et mes techniques. J’ai donc trouvé une utilité à mon art aussi et je continu de me faire un stock de flacon de sang. J’ai trouvé beaucoup d’autres astuces pour m’en servir en combat. J’ai par exemple ajouté à la note explosive un petit flacon qui explose en geyser. J’imprègne mes kunaï de mon sang aussi. Bref j’ai trouvé ma voie, mais cela ne plaisait pas à tout le monde …
Le ciel est un peu grisâtre aujourd’hui, j’entends les fracas de la mer violente derrière la maison durant mon entraînement. On sonne devant chez moi … Je ne prends pas le temps de me changer et vais simplement vêtu de ma tenue de combat leur ouvrir la porte. Deux inconnu se tiennent sur le palier, malgré leurs sourires et leur façon amicale de me souhaiter le bonjour je pressens le coup foireux … En effet le dénommé Toushin, apparemment le supérieur, prends la parole.

" Narahiko Nobukazu ? "J’acquiesce …" Vous êtes donc alchimiste et vous pouvez vous considérer comme criminel face au monde. Vous êtes accusé de menacer l’équilibre naturel des choses et d’obstacle au progrès. Votre art est puni par la loi, et je me chargerai d’appliquer la sentence. Des objections ? "

Jai l’impression d’être face à un canular, et j’ai du mal à cacher mon indicible envie d’éclater de rire. Mais devant tant de sérieux je ne peux que me rembrunir et réfléchir à toute vitesse avant de répliquer.

" J’ai plusieurs questions à vous poser mais je ne sais pas par laquelle commencer. Tout d’abord quelle loi vous autorise à m’insulter de la sorte ? De quel pays ? Quelle punition comptez-vous m’infliger ? Ensuite, quel crime ai-je commis ? Et si à tout cela vous répondez, alors je me dois de vous expliquer certaines choses … "

" J’obéis à la loi universelle établie par la nature. Vous et votre ordre ne fait que déséquilibrer le monde à tout changer, en transformant la fonction première d’une chose. Je ne peux laisser passer cela, les autres se cachent, pas vous ! Je vous tuerai ! "

Qu’attend-il ? Que je m’explique ? Alors je vais le faire …

" Écoute-moi bien car je ne vais pas le répéter. Je vais t’expliquer en quoi consiste mon art de la façon la plus simplifiée possible. Je procède en 3 actes. L’acte 1 consiste en la défragmentation de la matière, je tisse des fils de chakra microscopique qui coupent les liaisons entre les atomes ou les molécules. En temps normal cette action est très difficilement réalisable car les interactions entre ces atomes et molécules sont extrêmement résistantes et solides. Grâce à ça je peux par exemple séparer les composants du Rutile pour en extraire du Titane ou encore séparer le simple Grès du Nickel. La deuxième phase est plus ardue car elle consiste en la transformation d’un élément en un autre. Après avoir complètement décomposé un objet je peux réagencer l’organisation générale du solide. En diversifiant les associations et en connaissant bien toutes les combinaisons je peux arriver à presque n’importe quoi à partir de rien. La phase est certainement la plus dure car elle nécessite une grande quantité de chakra pour reproduire des fusions sensées êtres naturelles. Car après avoir réorganisé l’objet suivant le bon vouloir, il faut le figer, c’est-à-dire le reconstruire. Ce sont les trois phases de l’alchimie, la décomposition, la transformation et enfin la recomposition. Bien-sûr on peut s’arrêter à la décomposition, mais généralement, on applique rarement la deuxième phase sans aller jusqu’à la troisième. Voilà ce qu’est l’alchimie, maintenant vous pouvez parler de quelque chose que vous connaissez. Vous voyez, nous autres alchimistes ne changeons rien à la nature, rien ne se perd, rien ne se gagne, tout se transforme ! Nous ne faisons qu’utiliser ce qu’elle met à notre disposition ! Vous me qualifiez de perturbateur de la nature mais nous ne faisons rien qu’elle n’autorise pas. Vous me qualifiez d’entrave au progrès mais je ne fais que l’encourager ! Faites donc demi-tour et aller vendre vos imbécilités ailleurs si je ne vous ai pas convaincu, sinon entrez prendre un verre si vous désirez en savoir plus. "

L’homme semble confus mais pas persuadé pour autant.

" J’ai rien compris à ton charabia et je pense plutôt que t’essaye de nous rouler alors je veux bien croire que t’es pas méchant et pour nous le prouver tu vas nous suivre et participer à un petit test. Si tu réussis alors tu seras considéré comme inno … "

Après un léger tapotement d’épaule, le deuxième homme invite le premier à se concerter loin de mes oreilles. J’entends faiblement leurs voix au loin, je dilate l’air qui les sépare de moi, créant un vrai tunnel favorisant le déplacement des ondes sonores.

" Tu crois que c’est une bonne idée ? Tu sais si le test s’avère négatif il ne sera plus considéré comme un criminel "
" Arrête de rêver Kaku ! T’as vu le type que c’est ? Même si par miracle il passait le premier tour, il n’irait pas plus loin . Non je te dis, avec ma stratégie, d’une part il ne se doutera de rien et en plus on pourra le pendre haut et court d’ici une semaine. "
" Si tu le dis … "

Ainsi donc voilà la lâcheté des hommes, j’en avais entendu parler mais là j’y fais face et j’en suis même victime. Mais je décide d’entrer dans leur jeu. Ils me recommandent de les suivre, je rentre donc dans la maison pour y prendre des affaires, mon équipement et un ou deux bouquins chers à mes yeux. Devant ma résidence je m’incline et pose mes deux mains aux sols. Je me dis que ce que je m’apprête à faire me videra de mes forces mais je crois en mes capacités que j’ai entraînées au maximum et développé jusqu’à leur paroxysme. Je me concentre et relâche mes pouvoirs d’un coup. Le manoir commence à s’enfoncer, lourdement, progressivement, le sol le recouvrant petit à petit, le sol grondant de fureur. Puis les tremblements s’arrêtent, il ne reste plus rien du l’immense bâtisse. Elle est complètement engloutie sous les flots de terre. Je reviendrai ici plus tard et je déterrerai mon foyer. Mais en attendant, personne ne profitera de mes trésors !

C’est bizarre ce que j’ai fait quand même ! Je m’étonne moi-même ! Comment ai-je pu avoir l’idée d’engloutir ma maison ainsi ?! C’est impensable mais en même temps je voulais impressionner mes geôliers et ce fut chose faite … Ils m’emmenèrent devant le tribunal de Suna où l’on me fit passer maints tests qui prirent une drôle de tournure soit, en ma faveur. Enfin bref, sûr quoi je suis revenu ici et j’ai vécu tranquillement … Jusqu’à hier. Un mec de Suna est venu me voir en me réclamant. Ils me veulent moi, que je revienne, que de toute façon je ne pouvais pas refuser, que j’avais déjà fuit une fois, que je ne pourrai pas manquer à mon devoir une seconde fois. L'alternative que j'ai trouvée c'est que si j'appartiens déjà à un village ils ne pourront plus me pourchasser, Konoha me paraît accueillant, pourquoi pas ... ?

¤ Aspirant Ninja de Konoha ¤ Messages : 5 Date d'inscription : 26/03/2009

À titre d’information, j’imagine que vous aurez devinez que ces pouvoirs dont il possède proviennent de son clan (Duquel il ignore encore l’existence d’ailleurs). À noter, je sais que nous ne somme pas sensé possédé plus d’une technique inventé, d’autre part, pour garder un summum de cohérence, je demande, si bien sûr la possibilité s’offre à moi, à garder ces trois techniques qu’est les suivantes (et décrites lors de l’histoire) :

Nom :
Yabureme
Traduction :
Initialisation, technique #1
Description :
Cette technique est celle de l'initialisation ou de défragmentation. En me servant, avec une précision chirurgicale, de fines lamelles de chakra, je casse les liaisons reliant les atomes ou les molécules entre elles. Le coût en chakra est de base énorme de par la précision requise, le nombre de liaisons à casser et ainsi de suite. Le résultat est donc, toujours de base, plutôt médiocre. La défragmentation peut s'étendre à un volume d'environ 1 mètre cube maximum. Cette technique peut être simplifiée à l'aide de mon sang, qui déstabilise ces liaisons et les rend plus faible. L'utilisation en devient certes plus lentes et restreinte dans le départ, mais une fois commencée on sent de suite la différence. Défragmentation rapide, extensible jusqu'à atteindre aisément un volume de 2 à 3 mètres cube.
Le coût en chakra de cette technique est énorme mais si le sang est appliqué alors elle devient tout de suite beaucoup moins onéreuse.

Nom :
Sousa
Traduction :
Manipulation, technique #2
Description :
Cette technique fait écho à la première car elle permet de réorganiser l'agencement des atomes ou des molécules ainsi libérées, pour leur donner la forme désirée. Mon sang là encore peut simplifier la chose, car il affaibli la structure générale d'un atome ou d'une molécule, la rendant plus malléable.
Le coût, comme dans le cas de la première technique, en chakra, est très élevé car la restructuration demande une dépense en chakra pour les déplacements. En cas d'application du sang, ce coût baisse.

Nom :
Katamaru
Traduction :
Finalisation, technique #3
Description :
Cette technique est la suite des deux premières. Elle consiste en la recréation des conditions de collision ou de fusion des structures pour les figer et ainsi les garder sous la forme désirée après la deuxième phase. Cette technique est la finale, sûrement la plus importante.
Son coût est très élevé et le reste car elle doit être maintenue le temps voulut à moins de réunir les conditions physiques, géologiques, météorologiques pour qu'elle soient maintenues seules. Pour reprendre l'exemple des bras, de l'adversaire, déplacés. Avec cette technique il ne pourra rien faire pour se les remettre en place, et ils ne pourront pas revenir naturellement, sauf interruption de la technique.

J’admets qu’elles sont puissantes, mais telle est mon clan. ^^ Nobukazu, le clan, comporte de cinq techniques au total, sûr quoi, j’aurai à apprendre deux d’entre elles IRP. C'est à dire :

Nom :
Aichaku aijin(se trouve à être votre Kuchiyose)
Traduction :
L'invocation des cinq
Description :
L’utilisateur invoque 5 chauves-souris avec lesquelles il peut communiquer en langage sonore qu’on ne peut entendre à l’oreille. (Seul les descendants du clan le peuvent, ou tout animal) c’est dernières comportent de grande griffe afin de bien s’agripper à leur adversaire et de grande dents afin de mordre et de blaiser. Elles comportent aussi d’un petit pique au dessus de la tête. Souvent invoquer afin d’aider l’utilisateur lors d’un combat, Espionner un ennemie ou surveiller les alentours et prévenir l’utilisateur en cas de toute présence

Nom :
Nukin Nobukazu
Traduction :
Le radar
Description :
Tout comme la chauve-souris, l’utilisateur envoi des bandes sonores causées par de petits cris très aigue et d’une impossibilité à entendre pour l’adversaire (à moins que celui-ci est un animal, comme un chien par exemple). Lorsque ces vibrations sonores frappent un obstacle, celles ci reviennent aux oreilles de l’utilisateur. Agissant comme d’un radar à la capacité de 360 degré autours de l’utilisateur, cela lui permet de juger la distance, l’origine et la forme de cet obstacle et de bouger à sa guise, à son aise dans une noirceur totale, une brume épouvantablement épaisse voir même les yeux bandés etc...

¤ Aspirant Ninja de Konoha ¤ Messages : 5 Date d'inscription : 26/03/2009

*À venir...*

Nom du Clan :
Chef du Clan :
Village :

Histoire : (Minimum 10 lignes)
Signes Particuliers :

Pouvoir Héréditaire :
Techniques :

Membres du Clan :

Bon, alors, tout d'abord, ça ne me pose pas de problème que tu débute aspirant ninja. Le seul petit problème, c'est qu'il faudra te trouvé un Chuunin enseignant (Au pire je créerait un PNJ). Donc sinon, il y a pas de problème que tu débute aspirant ninja. Mais par contre un aspirant ne connait aucunes techniques ... Donc tu devras apprendre les techniques de ton clan in RP.

Mais d'abord, tu dois les faire validé dans le Bureau de Tobi et ton clan et ton Kushiyose dans Mon Bureau.

Bref, venons en à ta présentation, c'est très bien, très belle histoire et des descriptions pas trop mal. Avec cette présentation, ce n'est même pas la peine de voir si tu as le niveau pour aspirant, je pense que tu l'a largement ^^

Donc Validé Aspirant de Konoha ^^

Messages : 3 Date d'inscription : 22/03/2009

Lut Nara, attention y'a un type qui vas te dire que tu viens de faire un plagias de ton perso XD.

Évite ce genre de message s'il te plait, le MP sert à ça ...