Aimar Eleniel, le Joueur

[Je souhaiterais être un Sanin de Suna, Puisque je ne peux pas être membre de l'Akatsuki.]

~Votre Personnage~

Nom: Eleniel (Il a acquit des capacités qui lui sont spécifiques)

Prénom: Aimar

Age: 25 ans

Village Natal: Suna

Village/Organisation Souhaité: Suna

Description Mental:

Aimar est une personne ambigüe, qui peut être considérée de deux façon : soit comme un génie, soit comme un être frappé de folie. D'une part, il manifeste depuis sa naissance une aptitude étonnante au mensonge, à la tromperie et au calcul. Fin et rusé, il a toujours été capable de résoudre les problèmes qu'on lui posait et ne s'est jamais laissé provoqué stupidement par les autres enfants du village, jugeant leurs attitudes puériles et innacceptables. D'autre part, et son regard fou ne plaidant pas en sa faveur, il se prend souvent à rire de manière effrayante, mais douce, sans qu'il n'y ait aucune raison apparente. C'est un être ponctué de vertus et de vices intérieurs: il apprécie la musique, aime son travail, fait toujours la part des choses en cherchant toujours au-delà de la surface de ce qui se passe devant ses yeux, mais il est aussi sadique, appréciant la douleur des autres et se repuant des souffrances. Il est ambitieux, à un point tel qu'il ne l'imagine même pas lui-même. Une ambition sourde et sournoise qui pourrait le pousser au meurtre si jamais il devient incapable de se contrôler. En outre, Aimar est hypocrite, vice que lui sert autant à marchander qu'à se placer dans la société : il aime aller dans le sens des gens, leur fournissant de bonnes impressions, se montrant doux quand il le faut et terrible quand il le souhaite. Caché derrière ce masque d'Hypocrite, il ne cherche qu'à monter dans une société qu'il juge stagnante et décadente.
Concentrique est le bon mot pour qualifier sa sociopathie exponentielle. C'est bien simple: il se considère comme le seul être digne de vivre et songe à son unique Gloire. Il méprise royalement et universellement les autres, à tel point qu'il en vient à se croire unique et seul. Replié sur lui-même, isolé, il ne songe qu'à lui, à sa beauté - car il est également vaniteux - et se prend littéralement pour Dieu sur Terre.
En parfait hypocrite, il suit les préceptes du village de manière forcée, afin de faire bonne figure devant ses frères et de ne rien montrer de ses appréhension et de ses noirs desseins.
C'est ce qui fait de lui un être solitaire, refusant de vivre dans un peuple qui ne comprend rien à ses aspirations et à ses voies.
C'est en résumé un être fondamentalement tourmenté et à l'esprit mauvais.

Description Physique:

La première fois qu'on le rencontre, le jeune homme fait peur, aussi bien de part sa silhouette élancée et magnanime que de part son charisme ambigu et imposant. Aimar, outre sa stature et sa carrure impressionantes, impose une droiture impeccable et une très légère cambrure sur sa région dorsale. Taillé pour être militaire, ses traits fins dessinent un visage aquilin, jeune et encore pur, orné de deux yeux d'un bleu acier de nature presque mystique qui semblent percer les moindres secrets des âmes des personnes qui l'entourent et qu'il fixe. Dans son regard passent une foule d'impression, mais les plus communes sont peut-être la démence et la folie. Quicquonque voit passer cet éclat vengeur dans ses yeux acier est frappé de stupeur, que ce soit une stupeur de surprise ou une stupeur de terreur.
Une surprenant crinière noire descend en cascade sur ses épaules et ses homoplates, valorisant de manière sûre son charisme et ses yeux de dément. Ses lèvres minces sont généralement figées, témoignant de l'indifférence du jeune homme porté à l'égard des choses banales qui se déroulent devant ses yeux. Quelque fois, lorsqu'il cherche à conclure une affaire, ou alors à séduire une jeune femme - de la plus docile à la plus sauvage -, un sourire charmeur et envoûtant s'y dessine, plus trompeur qu'avenant, au-dessous d'un nez fin et anguleux. Sous ses cheveux immaculés se cachent une paire d'oreille semblables mais différente en quelques rares points : si la gauche est arrondie et continue, la droite se fait plus anguleuse et discontue, petite imperfection qui ne le dérange pas le moins du monde, préférant commercer que passer son temps à se regarder dans un mirroir.
Malgré son teint pâle, sa peau dore rapidement au soleil, s'assortissant de manière quasi-constante ses vêtements le plus souvent opaque, blancs ou sombres et noirs, qui eux-même , portés près de son corps, dessinent les muscles fins de son corps plus svelte que puissant.
Il ne se sépare jamais de la bague (arme du clan) qui occupe soigneusement son index gauche.

Histoire: (12 lignes minimum)

Etant le neveu du chef d'une famille de chasseur, il est bien évidemment le fils de son frère. Le père est un homme simple et dépourvu de toute ambition, ce que déplore le fils prodigue. La mère, issue d'une piètre famille , passe plus de temps à beugler sur tout et tout le monde qu'à s'occuper des affaires de famille - en bonne poissonière qu'elle est. Aimar a donc grandit dans un univers qui ne lui correspondait pas, et qu'il réfutait au plus profond de lui-même: c'est ce qui fit probablement de lui ce qu'il est.

Seul enfant d'une fraterie décimée à la naissance, sa famille le vit d'abord d'un mauvais oeil : pourquoi un enfant seul sur une lignée de dix aurait survécu à la colère des Dieux ? La réponse vint très rapidement à la bouche de chacun : il était l'incarnation d'un d'eux, un héritier légitime et instrument de leur volonté. Une thèse que le jeune homme jugea par la suite absurde et totalement dérisoire, malgré le fait que sa ruse, ses tendances vicieuses et sa personnalité calculatrice aillent dans le sens de l'opinion des autres. Son enfance fut difficile, parce que ses camarades ne le comprenaient pas et ne savaient pas à quel point il était intelligent. De même, sa famille proche comme éloignée le mettait un peu plus en retrait des autres, sans pour autant le marginaliser ( c'est de cet épisode de son enfance que provient certainement sa solitude et son besoin d'isolement ).

Puis ses talents de ninjas se firent de plus en plus appréciables au cours de ses apprentissages, et il devint rapidement la fierté de ses parents. A l'âge de quinze ans et dans le plus grand secret il découvrit le plaisir des femmes, ce qui laissa son esprit tourmenté vagabonder à nouveau dans des maëlstroms d'idées et de pensées toutes plus ambigües les unes que les autres. Il apprit à se servir du Ninjutsu, différemment des autres, dans les cas où la guerre éclaterait à nouveau - et surtout dans l'optique d'en déclarer une à d'autres peuples éventuels dans le cas où il deviendrait Kazekage- préférant cependant la ruse, plus maniable et plus sournoise : en bref, semblable à son esprit incisif.

Il apprit également la musique, jouant de manière parfait et harmonieuse du luth. Certains enfants le surnommèrent " le Barde " , idées qu'ils réfutèrent aussitôt lorsque le jeune homme l'apprit et qu'il décida de leur montrer sa colère... Il joue toujours du luth, bien que ce soit dans ses instants de solitude ou pour séduire une femme.

A l'âge de 19 ans, il prit conscience de ses sombres desseins et de ses aspirations peu naturelles pour un Shinobis. Il sentit son peuple lui devenir de plus en plus étranger au fur et à mesure qu'il grandissait, et se plaça en position dominante sprituellement parlant. Il songea que la volonté des hommes était éteinte depuis l'arrivée des "villages cachés". Il entreprit alors d'accéder d'avantage au Ninjutsu, au Taïjutsu et au Genjutsu. Il troca au hasard des rues un anciens livre abîmé à un marchand d'une famille de marchands, puis demanda conseil à un vieil érudit reclus sur le point de mourrir, qui, soucieux de de le voir prendre une tournure déplaisante en cherchant à apprendre, lui apprit une technique encore tenue secrète.
Mais Aimar apprit rapidement, si bien qu'il devint à même d'en faire sa spécialité. Faculté qu'il garde toujours secrète.

A 20 ans, fort d'une culture nouvelle acquise grâce à la lecture de livres troqués ça et là, il entreprit son initiation sur les vivats de son père et de sa mère. Elle dura pendant plus de cinq heures. On avait fait venir un des meilleurs ninja de sa famille pour l'occasion, afin qu'il mesure sa ruse et sa sournoiserie à l'expérience de son interlocuteur. Le duel physique fut éprouvant et long, pour le jeune homme qui n'avait jamais eut à se battre de la sorte pour obtenir ce qu'il voulait: Mais finalement, il y parvint, et devint la fierté de sa famille.

Son père lui enseigna alors les lois les plus importantes de Suna, des hommes puissants parmi les hommes: le Kazekage, bien sûr, les cousins du jeune homme, et plusieurs anciens: Certains retint son attention.

A présent, âgé de 25 ans et mûrit, il ne songe qu'à une chose : monter dans cette société décadente, en usant de tous les moyens, que ce soit du vice ou de la vertu, afin d'en devenir le chef et de la mener vers les constellations de la Gloire, la rendant maîtresse du monde Connu et Inconnu...

Test RP: (Donner par un administrateur)

Avez vous lu les règles ?: Validé par Tobi

Comment avait vous connu le forum ?: Top site.

Première impression du forum: l'Atmosphère me plaît. Smile

[Extrait de l'enfance d'Aimar. D'autres passages suivront au cours du RP, de temps en temps.]

- Alors, le Barde, ça va ?

Aimar tourna vivement la tête dans la direction de l'enfant qui l'avait invectivé. Il avait toujours détesté qu'on le nomme ainsi, dès lors qu'il s'était mis à apprendre le lutte, quatre ans auparavant. Il avait 12 ans.

Il se jeta de la branche sur laquelle il était allongé, et amortit sa chutte sur le tapis de feuille situé au pied de l'arbre. Il posa son instrument rare sur le sol, puis fronça les sourcils, et s'approcha du petit groupe d'enfants qui étaient présents. A l'orée de la forêt, c'était l'été, et les blés resplendissaient. Si Aimar avait souhaité se retirer en ce coin calme, c'était pour ne pas se faire importuner par les enfants du village qui ne cessaient de vouloir discuter avec lui: il était secret et réservé, ça les intéressait.

Lui les trouvait puérils.

Les gamins ne bronchèrent pas. Aimar déclara:

- Que puis-je pour vous ?

Les individus le jaugèrent longuement, puis l'un d'entre eux, celui-là même qui l'avait apostrophé, prit la parole:

- On aimerait savoir comment jouer du luth.

Les autres affirmèrent d'un signe de la tête. Aimar laissa trôner un petit rictus au coin des lèvres. Le jeu qui avait commencé tant d'années auparavant était devenu peu à peu pour lui une réalité, oubliant même l'origine de cette arrogance et de son air hautain. Plus question de jouer à l'héritier des dieux, non, mais l'envie suprême de montrer sa supériorité, d'écraser autrui... le démangeait.

C'était devenu une seconde nature, un désir insatiable ayant d'ors-et-déjà commencé à pervertir son innocence juvénile. La faute à son entourage. Pour l'avenir, une grâce...

Il désigna son luth du bout des doigts, et décréta:

- Un tel savoir vous est certainement innaccessible. Renoncez. Moi, je ne peux rien vous apprendre, en tout cas. Ne m'appelez plus le Barde... et laissez-moi en paix, désormais.

Il se détourna, empoigna son luth et remonta dans son arbre. Le doigt leste, il laissa aller la mélodie, et entreprit de jouer finement, sous le nez du petit groupe.

Les enfants n'avaient rien pu répondre à tant d' éloquence. Il restèrent quelques instants au pied de l'arbre, à regarder Aimar gratter les cordes et à écouter la musique. Lorsqu'il eut fini de jouer, ils s'en allèrent sans piper mot.

La musique avait été si parfaite qu'elle avait donné sens et vérité aux propos du jeune homme: les enfants furent persuadé de leur ignorance, et ne cherchèrent plus à l'importuner.

Aimar les observa s'en aller, puis descendit de l'arbre. Il leva les yeux vers le ciel. Un aigle prenait son envol. Il sourit, trouvant l'animal plus que majestueux, merveilleux. Il fit quelques pas vers la ville. Une étrange lueur perla dans ses yeux.

* Je n'ai jamais autant eu de plaisir que lorsqu'ils sont repartis livides et pathétiques... Il faut que je... *

Recommence ? Persévère ? Continue ? Ce fut probablement un de ces mots qui vint à l'esprit du jeune homme. Il se rendait compte à présent de son arme la plus puissante: l'art de parler.
A l'horizon des blés, sa silhouette s'évanouit. Tout comme son innocence.

Ma présentation est achevée !

P.S : Elle n'est pas extrêmement longue, mais je pense que le plus important est la qualité, et non la quantité. (Bien que je vous accorde que les sonorités se ressemblent. Smile

)

C'est pas trop mal, je ne pas vue beaucoup de fautes et le vocabulaire y est ^^

Valà ton test RP :

Citation :: Raconte moi ce passage de sa vie : "On avait fait venir un des meilleurs ninja de sa famille pour l'occasion, afin qu'il mesure sa ruse et sa sournoiserie à l'expérience de son interlocuteur. Le duel physique fut éprouvant et long, pour le jeune homme qui n'avait jamais eut à se battre de la sorte pour obtenir ce qu'il voulait"

| l'Epreuve.

Rien ne prédestinait Aimar à devenir l'être sombre et fou qu'il devint. La société shinobis en elle-même, et, l'environnement de vie du petit garçon ont favorisé son devenir.
L'enfant est fils unique. Unique, car tous les autres enfants, aînés comme cadets, furent décimés dès leur naissance.

- Cet enfant vivra ! s'exclama l'Ancien.

Le mari resta bouche bée. Aimar Eleniel poussa ses premiers cris. Il fut peu probable qu'il s'agisse déjà des cris de triomphe, triomphe sur le monde et la vie, le nourrison étant le seul jusqu'à ce moment des enfants de sa fraterie à avoir survécu à sa naissance, à avoir vaincu la mort, mais, avec lui, rien n'est moins sûr.
L'Ancien tendit l'avorton à son père, qui le prit dans ses bras, et qui, d'un leste coup de couteau, coupa le cordon ombilical. Cet enfant survivant signifiait la fin du calvaire, et le début de la vie pour ceux qui naîtraient après lui. Pour cela, Aimar fut d'abord source de joie.

- Aimar... Ce sera son nom, n'est-ce pas ? s'enquit l'Ancien auprès du père, qui répondit d'un signe de tête approbateur.

Le nom qui détermina toute son existence se résumait en deux syllabes. Un nom aux assonances multiples, qui semblait en révéler bien plus sur son for intérieur qu'il n'en n'avait l'air: le préfixe -a, de la suppression, la syllabe -mi du partage et de la duplicité, et la finalité en -ar, qui semblait de part sa sonorité artistique vouloir montrer chez le petit garçon une aptitude à la distance, à l'evanescence et au mystérieux.

On le plaça au creux du ventre de sa mère, qui ne cessait de pleurer, et, doucement, il se mit à taiter le sein. sa première nourriture, à moins en effet que ses premiers cris furent ds cris de triomphe, fut une nourriture matérielle, celle qu'il considère comme secondaire: le lait de sa mère.

- Ce sera un bon ninja, chuchota la mère stagnant.

Elle mourrait quelques jours plus tard.

Déjà, son destin était scellé dans un premier temps : il serait ninja. Comme tous les autres nouveaux nés, il devrait se contenter de ressembler au modèle de son père. les Dieux du mal ne semblèrent pas voir ça d'un bon oeil, aussi firent-ils abbattre le revers de sa médaille: après la grâce d'Aimar, il fit prérir tous ses jeunes frères et soeurs qui vinrent après lui.

Lorsqu'il eut 1 an, sa jeune soeur du nom d'Evanella périt deux jours après sa naissance, lorsqu'il eut deux ans, son jeune frère du nom d'Igor mourrut lui deux minutes après avoir vu le jour. Enfin, lorsqu'il eut trois ans, le cadet, Endellan, mourrut d'une fausse couche de sa belle-mère. En tout, avant et après lui, neuf nourrissons ne purent vivre leur vie à leur terme.
La tristesse gagna la famille, et les parents renoncèrent à essayer d'avoir d'autres enfants. Aimar, d'abord source de joie, suscita des inquiétudes et des craintes.

A l'âge de cinq ans, s'exprimant déjà courramment de part son éducation, il surprit une conversation entre son père et son oncle :

- Cet enfant est étrange, mon frère. Il parle déjà mieux que ses cousins du même âge, et est vraisemblablement plus intelligent.

-Je ne saurais te dire quel Dieu l'a frappé...

Ce fut à l'âge de 5 ans qu'Aimar Eleniel prit conscience de son aptitude à la tromperie, au calcul et de son intelligence. Ce fut pourtant dans un premier temps pour jouer et s'amuser qu'il décida de les mettre en pratique...

Lors de ses 20 ans, on fit venir le meilleur ninja de sa famille, qui lui donnerait une mission d'iniatiation à accomplir. Si cette dernière était bravée, il serait considéré comme le meilleur de son clan.

-Vas à Kiri... Tu y trouveras un groupe de brigands possédant une bague unique que je leur ai vendu, et appartenant à notre clan. Tu as cinq jours pour me la rapporter.

_________________

Malgré sa visite à Kiri, pour accomplir son épreuve, , Aimar, tout juste 20 ans, n'avait pas perdu de vue ses désirs et ses aspirations.

Il venait de s'offrir un temps de pause. L'atmosphère dans les rues de Kiri avait commencé à le lasser, si bien qu'il avait souhaité prendre l'air, au dehors, malgré le vent et le froid.
Il n'avait pas d'idée précise concernant les lieux où étaient disposés les bandits, et il doutait même que nombre d'entre eux avaient dûs se dissimuler parmi la forêt, ou des villages cachés itinérants qui ne devaient sans doute même pas savoir de qui ils s'agissaient. Il était hors de question pour lui d'avancer à tâtons dans une lande qu'il ne connaissait pas, aussi se promit-il d'aller faire un tour à la grande bibliothèque de Kiri, où de nombreux savoirs étaient entreposés. Il risquait probablement de tomber sur quelques récits de voyageurs oubliés, ou quelques oracles plus ou moins fiables, qui dans tous les cas l'amèneraient quelque part.

Où, et quand, il ne le savait pas.

C'est pourquoi il était sorti avec deux hommes de mains de la famille qu'on avait accepté d'emmener avec lui, afin d'explorer quelques peu les environs. C'était l'Aube, et, ne souhaitant alerter personne, il partit assez tôt, prenant des montures et quittant l'hôtel au pas. Lorsqu'ils furent à bonne distance, il s'arrêtèrent au sein d'un petit bois, à couvert des regards qui auraient pu se révéler indiscrets en raison du soleil qui se levait et perçait l'horizon, imbibant le ciel et les nuages de teintes orangées et rosées. Un instant, avant de donner des directives à ses deux accompagnateurs, le Maître leva les yeux vers l'horizon, derrière le palais de Mizukage, et admira le spectacle fantasmagorique.

Il se tourna alors vers ses hommes et leur ordonna de le suivre. Il chevauchèrent longtemps, au trot, pour ne pas épuiser les bêtes, et s'enfoncèrent petit à petit dans la lande. Il découvrit de magnifiques paysages, qui lui changèrent de ses habituels champs de batailles.

Il s'arrêtèrent un instant à un Lac givré, si bien qu'il en profita pour déplier une carte qu'il avait emportée avant de partir. Cela faisait plusieurs heures qu'ils chevauchaient, et le soleil s'était élevé plus haut dans le ciel, offrant au jour une lueur pâle et douce. Aimar avait revêtu ses fourrures noires et blanches d'hermine par dessus sa tenue noire. Tout robuste qu'il était, il n'était pas d'ici, et le froid le saisissait légèrement, malgré ses amples vêtements.

A quelques kilomètres à l'Est se trouvait un fleuve. Un étrange endroit empli de brume. Intrigué par ce phénomène météorologique laissé sans explication scientifique, il décida de chevaucher dans la direction indiquée. Rangea la carte dans ses vêtements, il talonna sa monture, et les deux gardes du corps le suivirent docilement.

Ils ne parlaient pas, étaient froids et muets, et ne communiquaient des informations que lorsque cela était nécessaire. ce manque de contact humain n'était pas pour déplaire l'homme, qui appréciait les moments de solitude. Il avait besoin d'être seul pour penser, calculer et dresser des plans plus complexes les uns que les autres. Les hommes qui l'accompagnaient lui offraient la sensation d'une présence tout en lui laissant la possibilité de la solitude, et c'était tout ce dont il avait besoin, particulièrement dans des moments tels que celui qu'il vivait: la recherche, la découverte, l'exploration de voies inconnues.

C'était une énorme qualité, chez lui, malgré tous ses sombres défauts. Défauts pour qui néanmoins ? Pour un regard extérieur, qui, encore, aurait eu la moindre idée de ce qui se tramait dans les méandres de son esprit. Car, de ce qu'il montrait de lui, on ne pouvait déduire qu'il ne s'agissait uniquement d'un Noble de bonne prestance, doté de manières propres à lui et d'un charisme détonnant. Quelqu'un de grand, et de glorieux, qui n'avait pour ambition que le bien de ses hommes.

Ils bifurquèrent au détour d'un sentier de neige, probablement tracé par quelques pisteurs de Kiri. Voire quelques chasseurs. Ils chevauchèrent encore quelques heures, jusqu'au Zénith, puis arrivèrent enfin sur une des rives du fleuve. Aimar fut stupéfait de constater que les rayons du soleil ne perçaient nullement l'épaisseur du brouillard perpétuel qui planait dans le lit de cette rivière asséchée.

Une demi-lune s'afficha sur les lèvres de Aimar.

* Voilà un phénomène fascinant. *

Il donna deux coups de talon sur les flancs de sa monture, qui s'avança au pas jusqu'au bord, escorté de près par les deux autres individus. Il pencha la tête en avant, par-dessus l'encolure du cheval, se dressant sur sa selle. Jaugeant l'opacité du brouillard, il dénicha un petit sentier qui leur permettrait d'atteindre le " fond " de la rivière de brumes. Se rassit, et tourna la tête tout autour de lui, à la recherche d'un arbre isolé. trouvant son bonheur à une cinquantaine de mètres de là, il s'y rendit au petit galop, et posa pied à terre, rapidement imité par les deux pantins. Il leur ordonna d'attacher les montures au tronc, ce qu'ils firent en même temps que lui.

Il gagnèrent alors le sentier, puis descendirent sur un dénivelé de deux ou trois mètres, rien de bien effrayant. Lorsqu'ils arrivèrent au fond, Aimar posa le bout de son bâton sur le sol. Il claqua. C'était donc un sol solide, et non meuble comme de la terre ou du sable. Alors il s'avança, les deux soldats quelques pas devant , ou derrière lui, afin d'assurer sa sécurité. Ils étaient en terrain inconnu et ils ne voyaient pas à trois mètres, si bien qu'ils devaient se tenir sur leurs gardes. Au bout d'un moment, l'obscurité se faisant extrême, les deux gardes enclenchèrent un phare intégré à leur équipement.

Oubliant le style, Aimar souleva son bâton de quelques centimètres et évita de le faire claquer, contemplant le brouillard qui s'écrasait sur son visage ou s'étendait encore et encore devant lui.

Il ne sut combien d'heures ils marchèrent, ayant quelques peu perdu la notion du temps, obnubilé par la merveille que constituaient ces lieux, et bien évidemment dépourvu de repère solaire en raison de l'épaisseur de la vapeur. Néanmoins, il sentit le soldat qui était devant lui se raidir un moment et ralentir le pas. Lorsqu'il s'arrêta, il l'interrogea en chuchotant :

- Que se passe-t-il, Eron ?

L'homme se tourna vers son maître et lui répondit à voix basse:

-Un groupe massif d'humains. Droit devant.

L'homme se décala sur la droite et tendit le cou, mais ne put voir que l'atmosphère opaque.

- Tu penses qu'ils sont dangereux ?

- Je ne sais pas.

Il réfléchit un instant, puis lui fit un signe de la tête.

- Suivons-les. A bonne distance, bien évidemment. Arrête-toi si tu sens que nous nous rapprochons trop vite.

- Bien.

Ils marchèrent alors plusieurs heures derrière ce mystérieux groupe d'individus, si bien que la marche fatigua quelque peu le Chef. Mais il refusa d'abandonner la piste, soudain empreint d'une grande curiosité.
Ils continuèrent donc, dans le brouillard inconsistant, à s'avancer, comme seuls. Enfin, Eron s'arrêta d'un bloc. Il se tourna vers son maître et lui dit, d'une voix au volume plus faible encore:

- Ils ont établi le camp.

Aimar porta deux doigts à son menton et réfléchit un long moment. Il se tourna vers le soldat qui se trouvait derrière lui.

- Est-ce que c'est toi qui possède le don d'invisibilité, Keyron ? s'enquit-il.

L'homme lui répondit d'un signe de tête. Alors, Aimar lui assigna sa mission.

- Tu vas aller voir de quoi il retourne. Si ces personnes sont hostiles, tu reviens immédiatement et me préviens.

- Bien.

Sans hésiter ni se soucier du danger, le solda dégaina une lame métallique et quitta les lieux à pas pressés, mais souples et silencieux. Au moment de disparaître naturellement derrière la brouillard, il devint invisible.

***

[Je tiens juste à signifier que, puisque je compte créer un clan, je n'ai pas donner beaucoup d'explication concernant les techniques utiliser par Aimar, pour concerver le mystère.]

Aimar scrutait les volutes de brouillard. L'attente se faisait abominable, d'autant plus qu'il n'entendait rien de ce qui se passait de l'autre côté, que ce soit à une demi-douzaine de mètre ou à une centaine. Il retint un soupir de soulagement lorsqu'il vit l'homme sortir de l'opacité ambiante et lever son invisibilité.

- As-tu été remarqué quelque chose ? demanda Aimar.

- Non, répondit l'homme. C'est un groupe de brigand qui s'apprête à lancer une attaque sur une caravane de marchand, vers le Nord. Ils sont au nombre de vingt, sans compter celui qui a l'air d'être leur meneur. Trois d'entre eux discutaient d'une bague aux pouvoirs fascinants . Ils se trouvent à environ 800 mètres d'ici.

L'information fit tressaillir l'individu. Il écarquilla les yeux et scruta le visage de son interlocuteur. Était-ce simplement possible ? Est-ce qu'une bande de brigand pouvait réellement détenir une telle bague en son sein ?

* Oui... *

Ce fut la réponse qu'il se donna à lui-même. Il avait imaginé le pire: la perte dans une catastrophe climatique, le rapt par des pillards, l'ignorance d'hommes... Alors pourquoi pas l'appropriation par un groupe de brigand ?

Effacez-tous les deux de votre mémoire l'information sur la carte, dit-il simplement.

Dans un petit bruit électrique, les deux hommes semblèrent tout oublier. Alors le seigneur décréta qu'il fallait monter le camp. Il était épuisé, et il avait une attaque à mener. Il lui fallait cette carte.

- Je dormirai ici cette nuit.

Les deux gardes approuvèrent, sans vraiment avoir le choix, l'ordre de leur maître, et l'un d'eux tira une grande couverture de son sac à dos. Aimar s'en empara et s'allongea sur le sol, se recouvrant de la couverture des Neiges. Les deux gardes n'avaient pas besoin de dormir, ils le réveilleraient cas d'ennui.
Il resta longuement à chercher le sommeil, mais ne le trouva que tardivement. Il s'endormit en rêvant de Pouvoir et de Puissance.
Ce fut Eron qui le réveilla d'une tape sur l'épaule. Il ne comprit ce qui se passait qu'en entendant des grognements offensifs. Une meute de loups. Keyron était déjà au combat et tirait sur la trentaine de loup qui les encerclait avec des boules de feus. Aimar bondit d'un coup, s'empara de son bâton, observant Eron qui dégainait son propre katana.
Au moment où un loup bondissait pour entraver son bras de sa mâchoire, Aimar fit habilement tournoyer l'énorme bâton dans les airs et envoya un puissant coup de rubis dans le crâne de la bête, qui fut projeté à quelques mètres, s'effondrant lamentablement sur le sol, morte. D'un air furieux, il observa les soldats réduire le nombre de loups affamés, et claqua des doigts, lançant un simple et unique nom:

- Anchor !

Un parchemin s'éleva entre lui et une dizaine de loup qui s'avançaient doucement, montrant les crocs, ce qui le fit reculer lentement. Le tourbillon laissa bientôt place à énorme ours noir monstrueux. Il était splendide, doté d'une fourrure sombre qui scintillait malgré la brume, rayée de violet et de rouge. Deux flammes émanaient de ses orbites, et ses narines et de sa gueule aux crocs étaient effrayants. Un seul grognement fit gémir deux bêtes, qui s'enfuirent la queue entre les jambes.
Aimar afficha un petit sourire complaît. Les autres loups, un peu plus braves - ou peut-être simplement plus affamés -, s'avancèrent en grognant sur la bête, tandis que les deux gardes du corps, pas le moins du monde troublés par l'invocation, ne cessaient de frapper sur les bêtes qui réduisaient le cercle autour d'eux.
Dans un jappement affolant, Anchor se jeta sur les bêtes qui lui faisaient face et en croqua instantanément deux ou trois. D'un vulgaire coup de patte, il en faucha une autre qui vit sa colonne vertébrale se briser. Néanmoins, quelques-unes d'entre elles bondirent sur lui et plantèrent leurs crocs dans a chair et sa fourrure. La créature retint un jappement de douleur.

Un des hommes en profita pour passer à l'action. Brandissant son arme, il frappa la mâchoire d'un loup qui bondit sur lui et la brisa. La bête s'enfuit en geignant de douleur. Au silence qui commençait à atténuer les bruits de combat, Aimar comprit qu'ils en auraient bientôt fini. Il se jeta alors sur un des loups qui avaient bondit sur son invocation, et enfonça le crâne de l'un, tandis que Anchor en coupait un en deux dans sa longue mâchoire embrasée, en se tordant le coup pour le déloger de sa fourrure. Aimar agita sa main droite, les doigts repliés sur eux-mêmes, et envoya un kunai se fracasser contre l'un des derniers loups qui parsemait la fourrure de l'invocation. Le loup touché n'eut pas le temps de hurler. Aimar aperçut ses hommes de l'ombre approcher de part et d'autre de lui et les vit abattre les deux derniers loups.

Il souffla un coup, souriant, et posa son bâton par terre. Anchor se tourna vers son maître. Sans un mot, Aimar frappa dans ses mains et le fit disparaître. Partout autour d'eux, le sol était jonché de cadavres de loups.

- J'espère que les brigands ne nous ont pas entendus, se plaignit-il.

Dans le doute, il resta éveillé une demi-heure environ, et, constatant que personne ne venait, il s'allongea à nouveau sous sa couverture.
Cette fois, plus rien ne troubla son sommeil, jusqu'au matin - ou du moins ce qu'il pensait être le matin, car il était impossible d'en être sûr sous la brume épaisse.

Il se réveilla lentement. Rendant la couverture au garde, il se tourna vers eux.

- Il est temps. Keyron, tu vas éliminer toutes les sentinelles silencieusement. Tu reviendras ensuite et nous passerons à l'attaque.

- Bien.

A nouveau, le garde sortit sa lame métallique, et s'enfonça dans la brume, se rendant invisible...

***

Keyron se glissa silencieusement jusqu'à la première sentinelle. Il s'accroupit derrière elle, invisible, l'arme prête, et écouta une conversation qui venait du camp. Il analysa la composition de la personne qui se trouvait devant lui. Puis, il s'approcha à pas feutré, et l'attrapa soudainement par derrière, plongeant proprement et finement la lame dans sa gorge. L'Humain mourut avant même de pouvoir crier quelque chose, sa gorge s'imbibant de sang, peut-être même sans se rendre compte qu'on lui donnait la mort, sans comprendre ce qui lui arrivait.
Alors, tel un fantôme meurtrier, l'invisible continua sa marche sanglante tout autour du camp, et entreprit d'éliminer toutes les sentinelles en silence.

***

Lorsqu'il revint, Aimar remarqua que la lame était imbibée de sang.

- Combien en reste-t-il ? demanda-t-il simplement.

- Douze, répondit l'assassin. Sans compter le chef. Les sentinelles sont réduites au silence et nous bénéficions désormais de l'avantage de la surprise.

Le Seigneur acquiesça d'un signe de la tête.

- Allons-y.

Les deux hommes dégainèrent leurs armes à feu et passèrent devant d'un pas leste. Il les suivit en trottinant, le bâton à la main, la mine furieuse et prêt à en découdre.

***

Les tirs pleuvaient de toute part. Visiblement, les brigands étaient armés. Il y avait quatre tentes, et, au milieu, un feu étouffé. Les deux soldats tiraient dos à dos, se protégeant mutuellement. Aimar se trouvait juste derrière eux, planqué derrière un arbre.

Alors, Aimar contourna ses alliés et traversa le champ de bataille, enjambant un cadavre, et se dissimula derrière une tente. Il agita son bâton.

Shoïton... Omokurushii !

Alors, les adversaires semblèrent se tétaniser, comme stopper par une force inconnue. Aimar en profita pour en tuer quelques uns.
À cet instant, il vit une balle perforer le thorax de Keyron, puis une dizaine d'autres l'achever. Il lâcha son arme et tomba en arrière. Aimar pesta contre cela, et vint porter son aide au dernier survivant. Eron se redressa et avança prudemment, abrité derrière une marionnette qui s'avançait lentement, et tira sur un brigand, qui perdit la vie, touché en plein crâne. Son tir fut d'une redoutable efficacité. Alors, dans une étreinte mortelle, et en agitant de nouveau son bâton, Aimar perfora les corps de ses ennemis qui hurlèrent de douleur, et surtout, d'incompréhension, leurs cris glaciants l'atmosphère déjà peu chaleureuse. Ils périrent tous, brûlé de l'intérieur.

Le silence tomba un instant sur le camp, Eron se tenant aux aguets. Soudain, le chef sorti lentement de sa tente...

-Tu possèdes quelque chose qui m'intéresse... Et pour ça ne je ne peux te laisser en vie.

***

Aimar s'essouffla. ce combat n'avait pas été de tout repos.
Il trouva Eron, derrière lui, qui lui rendit le bâton.

- Bien.

Il se tourna vers la bague, qui était toujours dans la main du cadavre du chef des brigands. Ses yeux pétillèrent un instant. La puissance de cette bague était telle qu'elle avait résisté à la destruction. Il se pencha pour la ramasser, mais entendit un vague bruit de pas, et se sentit poussé vers l'avant. Il tomba, et se réceptionna en roulant de l'autre côté d'une tente. se retournant, il était prêt à user de sa puissance en entendant un rugissement glacial. Il comprit instantanément que Eron l'avait sauvé de quelque chose.

Comme au ralenti, il vit une énorme forme bleue couverte d'écailles faucher son garde, le couper littéralement en deux, puis s'arrêter à sa gauche, devant lui, croquant le pauvre homme.
Il écarquilla les yeux, et jeta un oeil à sa droite, observant son homme à moitié s'effondrer. Visiblement, il vivait encore, mais plus pour longtemps.

Il brandit son bâton. Une dernière épreuve s'imposait à lui. La créature était haute de trois mètres, et ressemblait en tout point à ce que l'on appelait à un dragon, néanmoins, elle n'était pourvue que d'un unique oeil, et ses écailles étaient d'un bleu ciel très clair. Elle l'observa d'un oeil furieux.

* Elle devait sans doute se trouver bien plus au Sud, à monter la Garde pour les brigands. Doté de cette carte, je ne doute pas qu'il ait réussi à s'en faire une alliée... *

Il agita soudainement son bâton et son bras, lentement, à la manière des vagues océaniques, comme s'il ramenait un flux d'énergies en lui. Le dragon des mers amphibien s'élança. Au moment où il s'apprêta à croquer et couper en deux Aimar, une masse énorme et puissante se dressa entre eux deux, et bloqua la course de la bête.

En un instant, Aimar avait invoqué Anchor, le monstrueux Ours.

Aimar se recula de la scène. L'Ours, totalement soumise, entoura le cou du dragon des mers de ses bras musclés. Elle tenta de broyer sa trachée, mais la bête se débattait. Aimar comprit qu'elle n'y arriverait pas sans son aide. Il leva son bâton haut dans les airs et l'écrasa dans les orbites de l'amphibien.

La bête en fut déstabilisée, ce qui suffit à l'Ours pour exercer une plus forte pression, et, d'une torsion violente, écraser la trachée. La bête râla un instant, un étrange gargouillis émanant de sa gorge, puis s'effondra, l'oeil ouvert, la langue pendant lamentablement.

Le sourire de la victoire s'étira sur les lèvres du tyran. Il resta sur ses gardes quelques minutes, au cas où cela n'aurait été qu'une simple accalmie, comme plusieurs fois déjà au cours de ce combat, puis se détendit et baissa la garde.

Il désinvoqua d'un clignement de doigts son Ours.

Aimar soupira, puis se pencha sur la bague, un sourire fou sur les lèvres. Il s'en empara, et l'observa.

Elle était petite, mais un pouvoir immense semblait en émaner. Il la rangea dans une poche, et se sentit immédiatement investit d'un sentiment de gloire. Il la rangea consciencieusement au plus profond de ses vêtements, la dissimulant à la vue des autres. Puis alors, lentement, il fit chemin vers le Nord, en direction du sentier qu'il avait pris.

Les siens devraient admettre qu'il était bel et bien le nouveau chef de clan.

Test Rp achevé !

Aimar Eleniel a écrit:: [center]

[Je souhaiterais être un Sanin de Suna, Puisque je ne peux pas être membre de l'Akatsuki.]

L'oeuvre de Mitsu U.u? Tu peux allé a l'akatsuki mais sous deux conditions, que tu sois déserteur de rang S et qu'un membre vient te cherché x)

Mais bon revenons au vif du sujet Razz

Je t'aurais bien donné ma voix pour être sannin de Suna mais sa existe pas è_è
Enfin bon a voir avec Mitsu mais je suis pour que tu le sois Razz

Bon...Bha... Mitsu ? Razz

J'ai rien dit sur le sujet d'être membre de l'Akatsuki, tu peut l'être sous les conditions qu'a dit Tobi =)

Sinon, pour être Sannin de Suna, c'est pas possible ça existe pas xD Mais je peut mettre un rang équivalent ou peut dire, j'avais pensé à "Légende des Sables". Enfin, c'est toi qui voit si tu veux être à l'Akatsuki ou a Suna no Satô ^^

Pour moi il y à aucun problème,jolie test et comme je l'ai déjà dit, il y a du voc' xD Bref, je te valide quand tu aura prit ta décision, Légende des Sables ou Nukenin de Rang S (Futur Membre de l'Akat')

Bien, bien... Nukenin de rang S, alors. Razz

D'accord, alors Validé ! ^^

Invité

Déplacé ^^